Nous ajustons nos procédures. Pendant les menstruations, certaines poses de yoga sont à proscrire : la bougie, toutes les inversions (sauf chien tête en bas, qui n’est qu’une demi-inversion) et les torsions, qui ont tendance à augmenter les saignements. Heureusement, certaines techniques sont très utiles et peuvent soulager la douleur. Parmi elles, l’agenouillement en avant, la pose de l’enfant, la pose du cadavre ou encore la déesse du sommeil qui, outre la relaxation, ouvre la région pelvienne, réduisant ainsi la douleur.
Nous portons des vêtements amples. Les leggings serrés que nous portons habituellement ne conviennent pas à l’entraînement pendant les règles. Il faut éviter de forcer l’estomac à porter des choses amples et confortables, dans lesquelles on se sent à l’aise. Le simple fait de mettre la bonne tenue peut vous donner envie de vous entraîner les jours de paresse, comme par magie.
Nous choisissons la voie facile. Pas d’ashtanga ou de vinyasa, qui sont plus toniques et moins physiques pour les menstruations ou les fatigues extrêmes. Nous préférons les cours calmes et structurés, comme le yin ou le yoga réparateur, qui mettent l’accent sur les étirements, la respiration et la relaxation.
Nous utilisons des accessoires. Nous écoutons notre corps et en prenons soin. Et on utilise des accessoires, pour l’aider au maximum. Vous posez votre tête ou votre dos sur un traversin, vous prenez une corde pour étirer vos ischio-jambiers, bref, vous ne forcez rien et si les muscles ne veulent pas faire ce qu’ils font normalement, ce n’est pas grave. , nous restons calmes et lui donnons ce qu’il veut.
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