Très répandue en occident, cette pratique progressive et très structurée convient aux débutants… à condition d’être déjà en forme ! Pour mémoire, il existe cinq « séries » d’ashtanga, de longues séquences posturales de plus en plus complexes. Une seule personne dans le monde serait capable d’atteindre le cinquième et seule une poignée d’atteindre le quatrième. Les cours de niveau sont donc indispensables !
L’élève répète toujours la même série d’asanas qui se succèdent, dans le même ordre, en coordination avec la respiration. « Au départ, on ne travaille que ‘uniquement’ les salutations au soleil (séquences très dynamiques), précise Marie Dias-Alves, qui enseigne à Rouen. Une fois cela maîtrisé, on ajoute progressivement d’autres postures. » Les consignes précises permettent d’y entrer, d’affiner votre placement avant d’y rester, sans bouger, pendant cinq respirations profondes dites « yogiques ».
Résultat : avec le temps, on retrouve de plus en plus de confort physique, la respiration s’améliore. Les pensées n’ont plus le temps de venir nous déranger : nous abordons une méditation en mouvement.
A tester si… J’aime la régularité, la discipline, l’ascèse et l’endurance et je préfère prendre le temps de digérer les informations par la répétition.
Le conseil de Marie Dias Alves, formatrice et enseignante à Rouen : « Même si vous êtes très sportif, commencez par un cours d’initiation, idéalement en début d’année. Si vous commencez après la rentrée, sachez que cela semblent très (. ..)
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