Il peut sembler anachronique que l’idée même de bien-être appliquée aux animaux domestiques fasse l’objet de tant de polémiques, alors que les fondements sont posés depuis plus de 50 ans et récemment révisés à la lumière des dernières connaissances sur les capacités mentales animales. . Toutes les données scientifiques convergent autour de la reconnaissance de la vie psychique chez les animaux domestiques, sujets de vie et en relation consciente à leur monde.
De ce fait, le bien-être n’est pas un concept théorique désincarné (« bien-être animal »), mais doit être compris comme une réalité vécue par des êtres sensibles vivants et conscients dans leur rapport à leur milieu de vie (« bien-être animal »).
Le rapport Brambell, document pionnier

Dès 1964, le livre de Ruth Harrison dénonçait les conditions d’élevage intensif des animaux utilisés à des fins de production.
Pour répondre à ces critiques, le gouvernement britannique a créé le premier comité, le Brambell Committee, du nom de son président. Ceci pourrez vous intéresser : Porter bébé : optez pour le portage en écharpe. Sa mission est de faire des recommandations et de proposer des normes minimales de bien-être répondant aux besoins fondamentaux des animaux en conditions d’élevage intensif.
En 1965, il a produit un rapport qui est considéré comme le fondement de la réflexion et des approches liées au bien-être des animaux d’élevage en Europe.
Bien-être des animaux domestiques : l’étudier pour le promouvoir Bien-être des animaux domestiques : l’étudier pour le promouvoir
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