Comme le rappelle le Centre genevois de médecine du sommeil Cenas, « l’abaissement de la température corporelle d’environ 1 °C, nécessaire au processus d’endormissement, (s’obtient) plus facilement après un effort physique ».
Et globalement, il est admis que l’exercice physique est un facteur favorisant le sommeil. Mais certaines disciplines ou pratiques sportives favorisent-elles des nuits plus reposantes ?
La réponse est plutôt négative. En termes de disciplines, il n’y aurait pas forcément de « meilleur » choix pour le sommeil. Car au final, il est important de s’entraîner à une activité qui plaît. Dans le but de l’entretenir sur le long terme et régulièrement.
D’autre part, la façon dont vous pratiquez peut affecter votre sommeil.
Des effets sur le sommeil à partir de 1h de sport
« Des études montrent que l’intensité de l’exercice n’est pas un facteur décisif pour l’efficacité positive du sommeil », indique le site lamedecinedusport. Lire aussi : Saint-Nazaire. Pour les vendeurs de CBD, des alternatives légales à base de cannabis.com. « Ainsi, des effets similaires (…) ont été rapportés que l’exercice soit modéré, léger ou intense. »
Il est donc intéressant de pratiquer un sport, quel que soit son niveau et son niveau d’entraînement.
En termes de durée cette fois, les bénéfices sont proportionnels. Ainsi, « si la durée de la séance est inférieure à 1 heure, l’effet est négligeable sur la quantité de sommeil (2 minutes) ; pour une durée de 1 à 2 heures, la quantité de sommeil augmente de 11 minutes en moyenne et pour une durée de plus de 2 heures, l’effet est de 15 minutes », note lamedecinedusport.com.
Une heure minimum est donc recommandée pour observer les performances de nuit.
Autre facteur : le nombre de séances. « Un nombre de 3 à 4 séances d’activité physique par semaine produiraient les meilleures améliorations du sommeil subjectif et objectif », poursuit le site spécialisé.
Il est régulièrement rappelé qu’il est préférable d’éviter le sport le soir pour favoriser l’endormissement. Un inconvénient doit être fait puisque « dans l’analyse de la littérature, une activité physique moins de 4 heures avant le coucher augmente la durée totale du sommeil, réduit la durée des réveils nocturnes et n’augmente que légèrement la latence à s’endormir », précise le site lamedecinedusport. com.