Ponzi et jeux d’argent, vraiment ? – S’il y a bien une constante dans l’univers du Bitcoin (BTC) et des annonces particulières, c’est bien pour cela que les banquiers centraux les détestent. De la Banque de France à la Central Bank of India, l’innovation créée par Satoshi Nakamoto et ses successeurs a été détestée par les plus grands investisseurs mondiaux. C’est donc sans précédent que la Banque centrale d’Irlande fasse de même.
Le refrain incessant des banquiers centraux : Bitcoin, rien qu’un Ponzi
La possibilité d’acheter de l’argent (ou d’imprimer des tonnes) n’est pas distribuée, la confiance est une banque centrale, et encore moins avec Bitcoin. Voir l’article : Cryptomonnaies : les coûts sociaux et environnementaux du bitcoin peuvent être comparés au boeuf, au sel. Dans ce contexte, le Gouverneur de la Central Bank of Ireland (CBI) vient nous le confirmer.
Le gouverneur de la banque centrale irlandaise, Gabriel Makhlouf, s’est adressé aux législateurs de la commission des finances ce mercredi 25 janvier 2023. Il les a exhortés à agir (encore) immédiatement contre les crypto-actifs. En particulier, Gabriel Makhlouf demande aux membres de cette commission parlementaire de corriger la promotion des cryptomonnaies :
Il y a un grand nombre de jeunes adultes qui ont mis leur argent dans la crypto-monnaie, et il y a un niveau négatif de publicité destinée à cette personne. Si vous pouvez trouver un moyen de le faire, je recommande d’interdire la publicité destinée à cette population. (…) Les crypto-monnaies qui ne sont pas prises en charge [par les monnaies fiduciaires] sont un schéma de Ponzi. »
>> Vous ne faites pas confiance à la plateforme pour stocker vos cryptos ? Ledger contient la solution (lien commercial) <<
Bitcoin : un simple jeu de hasard selon la Banque centrale d’Irlande
Faire émerger une combinaison avec un grand Bitcoin classé et toutes les crypto-monnaies comme un système concurrentiel, n’est pas suffisant pour notre banque centrale. Voir l’article : 5 crypto-monnaies qui sont les meilleures en 2022 et celles qui se sont effondrées. En fait, Gabriel Makhlouf a qualifié cette nouvelle classe d’actifs de « jeu »:
« Les gens qui mettent leur argent en crypto-monnaie ne sont pas soutenus [par de la monnaie fiduciaire] (…) c’est vraiment du jeu. (…) Quand vous pariez dans un jeu de hasard, vous pouvez gagner. Mais la plupart du temps, vous faites des paris comme ça, la réalité est que vous perdez. »
A ce prix, pourquoi ne pas le faire sur les actions, les produits ou l’immobilier de l’entreprise qui sont bêtement comparés aux jeux d’argent ? Le revenu est-il justifié dans ces circonstances ? Cela ne nous semble pas le cas. Même les États ont historiquement fait défaut sur leurs dettes. Les obligations d’État vont également devenir un jeu d’argent soudain, n’est-ce pas ?
En tout cas, on veut savoir à quel point cette demande du patron de la Banque centrale irlandaise se rapproche d’un projet de loi récemment déposé au Parlement français. En effet, il y a quelques semaines, des membres du secteur social ont présenté un document visant l’interdiction directe de toute promotion d’actifs numériques sur les réseaux sociaux. Ces attaques coordonnées pourraient-elles viser à occulter Bitcoin et cryptos pour ralentir leur adoption ?
Pour stocker vos cryptos, rien de mieux que le portefeuille Ledger. Le Nano S et le Nano X offrent sécurité et facilité d’utilisation. En effet, ils sont compatibles avec de nombreux cryptos et réseaux. Ils sont une partie très importante de chaque transaction qui propose de détenir vos actifs pour vous. Rappelez-vous, « Pas vos clés, pas votre argent » (lien commercial) !
Rémy R.
Issu d’une université en sciences, je m’intéresse à la blockchain et au Bitcoin depuis 2013 et même à l’exploitation minière à cette époque. Lire aussi : Ces deux escrocs ont volé 555 millions d’euros dans une arnaque à la crypto-monnaie. La source suivante m’en a détourné, mais je m’y replonge depuis 2017 et l’étudie avidement depuis.