Création de son budget, gestion financière, embauche, normes de négociation, le conseil municipal de Loudéac, qui se réunit ce jeudi 17 novembre, poursuit la concrétisation de la volonté forte, de créer un pôle de santé la beauté du centre communal. Il faut dire que la question fait déjà l’objet de deux conseils municipaux, l’un du 10 mars 2022, l’autre du 29 septembre, faisant apparaître de temps à autre des statistiques et des constats alarmants sur la situation dans la zone. : auprès des médecins, le pourcentage de patients sans médecin supérieur à la moyenne nationale, soit le nombre de patients par médecin, autour de 1 500.
Trois médecins et deux administratifs à recruter
Ce jeudi soir, Bruno Le Bescaut, maire de Loudéac, par la voix de Daniel Coguic, adjoint de santé, a donc confirmé l’absolue nécessité d’embaucher trois médecins à plein temps pour le centre de santé de La prochaine commune qui doit ouvrir en janvier 2023. Leurs métiers ? Assurer les consultations ainsi que les visites à domicile, établir des visites médicales individuelles, mener des actions de santé publique (éducation à la santé, prévention, etc.) et enfin contribuer à la pérennité tout en ambulatoire et à l’admission des personnes formées en médecine générale. A cela s’ajoutera l’emploi de deux personnels administratifs à plein temps, principalement pour le recrutement. A voir aussi : Bon plan Galaxy S22 Ultra : Le téléphone baisse son prix sur Rakuten. « On va commencer doucement », a déclaré Bruno Le Bescaut. On peut embaucher un ou deux médecins et du personnel administratif. » « Vous avez des poings ? » « Demandez à Béatrice Boulanger de résister. « Non pour le moment, mais je pense que le vivier de recrutement est constitué des stagiaires et de nos médecins généralistes », a répondu le maire.
Une consultation au tarif fixé par la Sécurité sociale
Enfin, un point tout aussi important, le prix des négociations. Daniel Coguic a annoncé que le centre de santé municipal utilisera les honoraires des médecins généralistes conventionnés en phase 1. Autrement dit, ceux fixés par la Sécurité Sociale qui servent de base au paiement de la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie). Dans le même cas, le tiers payant intégral doit être utilisé pour faciliter l’accès aux soins.