La copie sera examinée par les opposants reçus ce jour par Elisabeth Borne, la Première ministre. Projet de loi pour fixer l’argent, le PLFR est prêt et le chef l’envoie aux tribunaux de grande instance de l’Etat, comme il est d’usage.
Sommaire
Une croissance revue à la baisse : 2,5 % pour 2022

Du côté négatif, on note que cette tendance de croissance a été ajustée à la baisse à l’économie française. De 4% donné dans la dernière loi de finances, le gouvernement est passé à 2,5% cette année. Sur le même sujet : Cryptomonnaies : Le fonds actions à trois flèches inquiète le marché. En cause, la guerre en Ukraine, qui a contrôlé l’économie et fait légèrement grimper les prix du pétrole, mais aussi le virus microbien du début d’année a été limité.
Autre facteur qui a diminué le pouvoir de guérison : la stratégie « zéro covid » de la Chine, et les détenus considérés comme le premier semestre, secouant les chaînes et ralentissant les choses.
Dans le contexte de crise sanitaire mondiale mais aussi volatile – caractérisée principalement par l’actuelle épidémie du virus en Europe – l’instabilité du climat des affaires ne cesse de croître et il est donc prudent que le gouvernement envoie sa croissance de 2,5%. .
Une économie française qui résiste face à l’inflation

Cependant, selon les responsables, les valeurs économiques évoluent sans heurts. A voir aussi : Korian : le Conseil d’administration proposera la nomination d’un administrateur indépendant. Avec une croissance de 2,5 %, la France est l’un des meilleurs pays de la zone euro.
De même, c’est en France que l’inflation sera la plus faible cette année. Le gouvernement s’attend à ce que les prix à la consommation augmentent de 5 % en moyenne. La prévision est légèrement inférieure à celle de l’INSEE, qui l’estime à 5,5 % en moyenne sur l’année. Mais cette différence, explique Bercy, est due au prix de référence d’un baril de pétrole choisi pour effectuer le calcul. Le ministère de l’Economie s’est fixé un objectif de 110 euros en 2022. Quelques autres INSEE.
Des recettes en hausse

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Le premier est l’uniforme de travail. Certes, le nombre d’emplois créés diminuera fortement au cours du second semestre, mais l’économie française continuera à maintenir un bon rythme tout au long de cette année. Alors que près de 80 000 emplois ont été créés dans la première phase, un total de 115 000 seront achevés d’ici la fin de l’année. Ces activités sont aussi importantes qu’elles permettent de collecter des subventions sociales (dons) mais aussi des recettes fiscales, via l’impôt sur le revenu. Et réduire le montant des allocations qui devraient être versées, par le biais de l’assurance-chômage ou des minima sociaux.
Selon le gouvernement, les dépenses doivent également être accrocheuses, ce qui permet également à l’argent d’aller dans les caisses de l’État. Voir l’article : Dossiers clés du 4 juin 2022 – L’or et l’argent à la Banque de France. La reprise du transport aérien, qui est une destination touristique, permettra également d’augmenter les salaires de la TVA française.
Sans compter qu’au final, le coût a été plus élevé que prévu du côté de l’impôt sur les sociétés. Remerciements particuliers au mécanisme du solde 2021 versé en 2022. Cet ensemble permettra, selon le chiffre gouvernemental, au Gouvernement de percevoir en 2022 jusqu’à 50 milliards de recettes, soit dépassant le budget de l’Éducation nationale. Soit 2 % du PIB.
Pas de réduction de la dette en vue

Mais loin de réduire la dette de la France, qui restera à 111,9 % à la fin de l’année, Bercy partage cet argent supplémentaire pour compenser la perte. Objectif : maintenir l’imprévisibilité initiale, autour de 5 %.
Le reste de l’argent – que certains peuvent considérer comme un segment, mais le gouvernement refuse ce terme – sera largement utilisé pour payer les factures d’électricité que le gouvernement entend porter par voie de loi, le 6 juillet, en Conseil des ministres. . Au menu, un retour de 3,5 % des salaires des fonctionnaires, celui de 4 % des pensions de retraite, permettront de maintenir le bouclier tarifaire sur l’essence jusqu’en décembre prochain soit une hausse de 18 centimes d’euro le litre. Bercy n’a pas voulu commenter mardi le coût exact de ces mesures, mais les premières estimations tournent autour de 25 à 30 milliards d’euros.
Dans l’arène politique, il y a fort à parier que la répartition du reste de l’argent au reste de la caisse, quitte à maintenir le pouvoir d’achat des Français, provoque les poignées droite et gauche. Les républicains auront besoin de 50 milliards de dollars supplémentaires pour réduire la dette. A gauche, Nupes y verra une opportunité d’augmenter encore le pouvoir d’achat du forfait, déjà déclaré insuffisant.
Newsletter – La Tribune 12h

Du lundi au vendredi, votre rencontre de la mi-journée avec
Merci pour votre inscription !
toute l’actualité économique
Dernière étape : confirmez votre abonnement dans le mail que vous venez de recevoir.
Pensez à vérifier vos spams.
Inscription à la newsletter La Tribune 12h
A bientôt sur le site de La Tribune et dans nos journaux,
Producteurs salariés de La Tribune.
Inscription à La Tribune 12h
Tous les jeudis, des nouvelles sortent
Connexion à mon compte
Dans votre boîte aux lettres avant 9 h.
Merci pour votre inscription !
Vous souhaitez vous inscrire à notre newsletter ?
Vous êtes déjà inscrit !
Du lundi au vendredi, votre temps pour le déjeuner
Réinitialisez votre mot de passe
avec tous les problèmes économiques
Email envoyé !
je n’ai pas encore de compte
A bientôt sur le site de La Tribune et dans nos journaux,
Producteurs salariés de La Tribune.