Un article récent du journal français Le Figaro, cité par certains médias, met en lumière les dérives des réseaux sociaux, où des « influenceurs » font illégalement de la publicité pour les produits de la vape. Ils sont tous liés à l’industrie du tabac et des circuits.
Le problème puff

Sarah Fraisou, « influenceuse » sur Snapchat, est très suivie : 3 millions 600 mille abonnés, c’est rien. Les adolescents, pour la plupart, sont la cible de ce réseau social. Lire aussi : Camping-car : comment se protéger des fortes chaleurs ?. Et un public un peu différent : Claudia Cohen, journaliste au Figaro.
Celui-ci ne peut voir que l’effet de la publicité cachée pour une bouffée. « Les gars, je dois vous dire ceci : le vapotage est une grande tendance en ce moment. » Avec le lien vers le site du fabricant sur l’histoire, il met en évidence le journaliste.
Quiconque est au courant de la législation ne peut que tourner les indicateurs au rouge : la publicité secrète, puisque, a priori, rien ne laisse présager qu’il s’agit d’une communication commerciale. Publicité pour les produits de vapotage, interdite à partir de 2016.
Si, dans l’article de Claudia Cohen, cela tombe sur Sarah Fraisou, c’est bien noté sur les réseaux Instagram, TikTok, Snapchat que bon nombre d’influenceurs font la promotion des produits de vapotage. Pas une seule : les bouffées, les e – cigarettes jetables, hautement contre – productives et hautement polluantes, combattues par des associations de protection contre les vapeurs indépendantes et responsables, la FIVAPE en pointe.
Les cigarettiers, PMI en 2021 et ATM en 2022, ont été condamnés pour publicité illégale, utilisant également des réseaux parallèles destinés aux jeunes. Cette attaque des fabricants de bouffées se fait sur le même modèle, et ne doit pas rester sans conséquences. Le ministère de la Santé a fait un rapport au parquet, et le Comité national du tabac, qui surveille de près ces activités, n’exclut pas d’intenter une action en justice.
Une situation qui ne peut qu’avoir un impact négatif sur l’image de la vape en général, et l’image de la vape indépendante en particulier, mais toujours très prudente et respectueuse de la réglementation. Tout cela est dû à l’inconscience des joueurs vénaux et à l’incohérence des jeunes influençables.