Diffusion : les collectivités paient encore le Covid… en attente de l’avis du Haut Conseil de la santé publique

Written By Sara Rosso

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L’arrêté du 30 avril 2020, pris conformément à l’avis de l’agence nationale de l’alimentation, de l’environnement et de la santé et de la sécurité au travail (Anses) du 27 mars 2020, avait mis en place le traitement systématique d’assainissement avant le rejet des eaux usées agricoles . déchets générés pendant la pandémie de covid-19.

Des charges financières importantes

Or, ces pratiques d’hygiène représentent une charge financière énorme pour les pouvoirs publics en charge des plantes médicinales. Un financement est en place jusqu’en 2021 pour les aider. Voir l’article : Europe : le Parlement reconnaît que la cigarette électronique peut aider à arrêter de fumer. Cependant, la fin du versement de l’aide spéciale à partir de 2022 par les organismes de l’eau a mis de nombreuses collectivités en difficulté, et cette question s’est invitée à la table de nombreux conseils municipaux et publics.

Avec le Covid-19, la propagation des déchets insalubres est interdite : un casse-tête pour les communes nivernaises.

Pour exemple, Urzy, la location d’une machine selon ce mode a coûté à la commune 21 886 € TTC en 2020, et à cette époque il percevait une subvention de 30% de l’Agence de l’Eau Loire Bretagne.

« Pour la communauté de communes du Haut Nivernais Val d’Yonne, les surcoûts ont été de 180.000 euros », rapportait le sénateur de la Nièvre, Patrice Joly, en juillet dernier, lors d’une question au gouvernement, demandant « le renouvellement des subventions exceptionnelles versées ». par plans d’eau, pour l’année 2022.

« Si le principe d’immunité semblait juste en 2020, aujourd’hui il nous semble difficile »

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« Si le principe de l’immunité semblait de mise au printemps 2020, il nous paraît aujourd’hui excessif », écrivait le sénateur du Haut-Rhin, Christian Klinger, également en juillet dernier. La sénatrice de l’Eure, Kristina Pluchet, avait donné sa part en septembre dernier : « Comment justifier le maintien des restrictions qui se sont propagées comme au premier jour de l’épidémie, alors que la vie normale de nos concitoyens a repris, à la fin de le pays en urgence le 1er août ? »

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L’avis du Haut conseil de la santé publique remis prochainement

Le ministère a répondu début octobre, indiquant avoir demandé l’avis du Haut Conseil de la santé publique « sur l’avis de relever ou d’abaisser les restrictions en vigueur à l’épandage de boue, et, le cas échéant, les conditions de sécurité publique ». Dans l’attente de ces avis, qui sont attendus en octobre 2022, et d’éventuelles évolutions du cadre réglementaire, les dispositions de l’arrêté révisé du 30 avril 2020 continuent de fonctionner. A voir aussi : Peur des pieds (podophobie) : définition ? D’où vient la solution ?. »

Lorsque nous avons contacté le Haut Conseil de la Santé Publique ils nous ont répondu ces derniers jours que « cet avis est en cours de finalisation et devrait être remis au client prochainement »…

Conseil de l'Agence Régionale de Santé. Conseil de l'Agence Régionale de Santé
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