C’est ce qu’il faut comprendre de la récente excursion de ce biologiste et thérapeute.
Malgré les polémiques qui suivent ses excursions, le biologiste Poulain Nzobeuh reste ferme sur ses vues sur nos habitudes alimentaires en tant que Camerounais. De plus, il va plus loin dans cette nouvelle publication en donnant même un exemple de recette saine pour notre alimentation. Car selon lui, notre alimentation devrait « élever notre taux vibratoire ». Il ajoute : « Lorsque vous mangez, oubliez le goût, recherchez d’abord la vitalité. Ne créez jamais de lien affectif avec la nourriture. Cette loi s’applique également à l’argent, au matériel, au sexe et aux relations humaines. par rapport à toutes ces vanités. Tout ce que vous mangez doit vous guérir. Ne laissez pas les pharisiens vous tromper en disant que la nourriture a aussi un but de plaisir. Faux ! Parce qu’aucun animal dans la nature ne mange pour le plaisir. Aucun prédateur ne tue pour le plaisir et ne s’en va sa proie morte. Le plaisir de manger n’est bon que pour les corps dépendants de la nourriture. Et ce ne sont que les aliments morts qui créent cette dépendance.
Un conseil mêlé d’un soupçon de sympathie : « Je vous rappelle que vous êtes des rois et des reines. Des anges et des archanges. Vous venez de loin pour accomplir des missions divines sur terre dans cette dimension. Malheureusement, manger des aliments hautement transformés, transgéniques et dénaturés sape vitalité (y compris votre taux vibratoire) et vous éloigner de votre mission. Au vu de vos rangs célestes et divins, comment pourriez-vous être trompé que la malbouffe était bonne pour vous ? Réveillez-vous et trouvez votre chemin de vie qui mène à l’épanouissement personnel et une joie profonde », a-t-il écrit.
Il ne s’est pas arrêté là. Polain Nzobeuh a également proposé en exemple un plat « idéal » pour notre santé : « Purée d’ananas + avocat, garnie de bâtonnets de safou, cacahuètes trempées, granulés de spiruline » [trouvé dans l’image d’illustration]. Il explique ensuite que les produits de ce plat ne sont pas importés, mis à part le contenant, « rien n’est frit ou bouilli ; le plat est prêt en cinq minutes ».
Tout ce qui est en aucune façon contre le plat traditionnel des beignets de haricots bouillis, très populaire chez les camerounais, qui « nécessite un minimum de 4 heures de cuisson, est majoritairement importé, est fortement frit, font ceux qui le font et ceux qui ceux qui le mangent ». ça, les malades », insiste encore une fois le thérapeute.