Ce n’est pas une fatalité
La lombalgie aiguë est appelée « fatigue rénale » : lumbago. Elle dure quelques jours, a besoin de repos, mais disparaît complètement. Voir l’article : Quelle assurance emprunteur choisir ? – Miroir magnétique. Si ça persiste, ça revient plusieurs fois dans l’année, c’est ce qu’on appelle une lombalgie « chronique ». En résumé : les lombalgies aiguës durent plusieurs jours ; la lombalgie chronique, on parle de semaines, de mois ou d’années… Ça gâche la vie que l’on soit footballeur, intellectuel ou retraité !
Dans 90% des cas, cela commence par ce qu’on appelle « le mal de dos », dont la première cause est un faux mouvement ou un effort inhabituel. Par exemple, le grand classique : soulever une caisse de livres sans plier les jambes.
Que faut-il faire en cas de douleur aiguë du dos ?
Quelques conseils peuvent aider à soulager les douleurs lombaires : Lire aussi : Crédit immobilier : Le marché est saisi par la hausse des taux, les professionnels s’inquiètent.
Il est également intéressant d’appliquer la relaxation musculaire, notamment avec le stress associé. Voici quelques positions de relaxation :
Ces poses de dossier peuvent être pratiquées pendant quelques instants chaque jour.
Faut-il se reposer en cas de lombalgie aiguë sans complication ?
Le repos au lit est absolument déconseillé, des études scientifiques ont même montré qu’il pouvait paradoxalement prolonger la douleur. Ceci pourrez vous intéresser : Comment souscrire une assurance responsabilité civile ?.
Une reprise précoce des activités quotidiennes est donc recommandée pour un meilleur entretien musculaire. Aussi, plusieurs études scientifiques ont démontré que la reprise progressive de l’activité physique favorise la guérison.
Avec une activité professionnelle et si les douleurs ne sont pas trop fortes, une pause de travail n’est pas toujours nécessaire. Lorsque le médecin prescrit un arrêt de travail, il tient naturellement compte de la nature du travail et des trajets pour s’y rendre.
Si le travail est sédentaire avec des temps de déplacement courts, l’arrêt de travail n’est pas systématique. En revanche, si le travail est physique et que le transport est long et lourd, l’arrêt sera adapté à ces contraintes (de 3 jours en moyenne pour les travaux physiques légers à 5 semaines pour les travaux physiques lourds).