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En tant que cavalier, votre position et votre gestion du corps sont plus importantes, dans toutes les disciplines. En endurance, la façon dont vous roulez aura une incidence sur votre course. Voici quelques conseils de Jean-Philippe Frances, champion du monde d’endurance.
La position du cavalier
Dans cette matière, il y a deux écoles. L’état du Golfe, où le cavalier porte des chaussures très longues, sur la pointe des pieds et debout, les jambes presque droites. Il était assis sur la selle, les épaules en arrière. Voir l’article : Le problème de la taille de l’effet carbone. Cette balade est plus adaptée aux courses rapides (galops) sur terrain plat. La position européenne est plus adaptée aux terrains plus techniques avec relief comme Florac. Les étriers sont chaussés courts, le cavalier est tenu en suspension, le buste est relevé, ce qui lui permet d’être plus présent et équilibré.
La morphologie du cavalier et du cheval entrent également en jeu. Si vous avez de longues jambes, vous vous asseyez mieux, d’autant plus qu’un gros buste peut surcharger le coup droit. La position assise est moins fatigante, surtout si le cheval est costaud, si c’est plus subtil, on préfère s’équilibrer sur l’étrier.
Plus encore, l’endurance du cavalier qui s’oriente vers une position d’orientation droite, assise. Attention cependant, même s’ils sont assis, ils ne mettent pas tout leur poids sur le siège mais le maintiennent au-dessus de leurs pieds tout en touchant le siège. Lorsque la course est plus technique, le coureur porte des chaussures plus courtes pour être réactif et passer rapidement d’une position assise à une position équilibrée (et inversement) selon la situation. Au galop, il est également important d’avoir un bon engagement du bassin en suivant les mouvements du cheval. Pour ce faire, le bassin doit être légèrement relevé devant les épaules.
Sachez bien vous hydrater
Lors d’une course d’endurance, le plus important est l’hydratation. Souvent, les coureurs ne boivent pas assez. Il faut s’hydrater par petites quantités à chaque arrêt au lieu de vider un litre à la fois. Vous pouvez également porter une petite ceinture pour garder sur vous une bouteille de boisson isotonique comme un participant à une épreuve de trail. A voir aussi : A Paimpol, le club de musculation et de fitness marche bien. De plus, comme tout sportif, mangez du sucre lent (pâtes, pain, etc.) la veille de la course et évitez tout ce qui est difficile à digérer, gras et sucre le jour J. Recettes de pain et de barres de céréales pour les fringales.