Des sites de rencontre aux applications dédiées aux relations amoureuses, le choix est immense et de nombreux Français ont un jour franchi le pas de s’inscrire sur l’un ou l’autre. Malheureusement, certains inscrits profitent de ce procédé pour commettre des escroqueries, des escroqueries ou même avoir une liaison extraconjugale. Par précaution et sans diaboliser cette rencontre, l’avocat Roland Perez explique les gestes barrières à la protection sur les sites de rencontres dans sa chronique Ai-je raison ?
L’arnacœur
Tout comme dans le film L’arnacœur avec Romain Duris et Vanessa Paradis, certains profitent du lien de confiance qu’ils tissent par son recours à la fraude. Roland Perez explique : « L’escroquerie amoureuse existe dans la loi et est considérée comme une véritable escroquerie. Voir l’article : émission de télévision. Il a tué pour l’assurance-vie de ses conquêtes…. « Il faut faire attention à ce que l’on montre de soi, et ne pas se laisser entraîner dans une relation basée sur l’argent. » Récemment, un homme de 33 ans a été condamné à trois ans de prison pour avoir volé de nombreuses jeunes femmes et extorqué de l’argent à elles et à leurs proches.
« Il faut aussi éviter de tourner des vidéos excitantes et intimistes qui peuvent rapporter de l’argent », prévient l’avocat. On l’aura compris, dans sa vraie relation, pour laisser la dépouille, mieux vaut éviter de trop lâcher car tout peut se retourner contre nous. Surtout si vous ne connaissez pas la personne derrière l’écran.
Les adultères
Même si vous n’êtes plus amoureux de votre moitié ou que vous avez juste envie d’aller ailleurs, peu importe, si vous êtes marié, mieux vaut éviter les lieux de rencontre. Cela peut se retourner contre vous et surtout cela vous coûtera très cher. Ceci pourrez vous intéresser : « La Passagère »: De l’adultère à la nature. « La décision de la Cour de cassation a confirmé le divorce aux torts de la seule femme, considérant que les mails échangés au hasard, au lieu de dater plusieurs écrivains masculins et des photos intimes, constituaient un délit lié au mariage. », précise Roland Perez.
Là où le bât blesse, c’est que la justice ne donne pas l’autorisation de payer au conjoint coupable… même s’il s’agit d’une personne en difficulté financière. « Dans le cas de l’épouse qui allait à un rendez-vous, elle s’est vu refuser par les tribunaux son droit de verser une pension alimentaire alors qu’elle n’était pas stable sur le plan financier par rapport à son mari. L’échange de mots grossiers et de photos intimes est notoire sur les sites et applications de rencontres.