Bien que la pandémie de Covid-19 reste d’actualité, le recours au télétravail n’est plus imposé. Outre-Atlantique, les entreprises s’organisent pour le retour en toute sécurité de leurs salariés au bureau après plusieurs mois de télétravail. Pour motiver ses employés, Google leur propose des trottinettes électriques.
Une trottinette électrique en « cadeau » pour le retour au bureau
Bien que le télétravail ne soit plus obligatoire, de nombreux employeurs continuent de l’utiliser, au moins en partie, pour répondre aux demandes de leurs employés. Les autres s’apprêtaient à retourner au bureau. Lire aussi : Les vignettes vertes d’assurance peuvent disparaître et c’est une bonne nouvelle. Et avec les nouvelles habitudes prises par le travail à domicile, ces inquiétudes sont palpables.
Afin de rendre la transition douce et réticente et lever les réticences, le géant de Mountain View a prévu une récompense. Son parti a en effet signé une coopération avec le constructeur Unagi pour la mise en place du programme « Ride Scoot ».
Les salariés du Groupe basés aux Etats-Unis bénéficieront du remboursement de leur abonnement Model One. Ce scooter électrique est au prix de 990 $, mais est proposé dans une formule de location facturée 49 $ par mois, plus des frais d’activation de 50 $. Ce forfait comprend l’entretien et l’assurance essentiels du scooter électrique.
Un abonnement gratuit pour les employés américains de Google
Le géant de l’internet s’est engagé à prendre en charge les frais d’abonnement et les frais, tant que l’employé souhaitait utiliser ce mode de transport. A voir aussi : Broker : Solly Azar lance une nouvelle offre de deux-roues.
L’entreprise tiendra un stand sur place pour faciliter les contrats d’abonnement individuels avec les fabricants. Une journée de démonstration est également prévue, pour permettre aux futurs utilisateurs de tester la machine.
Cependant, le remboursement des frais d’abonnement est soumis à une condition : les bénéficiaires doivent effectuer un minimum de 9 trajets par mois sur leur scooter. Google n’effectuera aucun contrôle particulier, mais exige une déclaration sur l’honneur de ses employés. Le groupe peut imiter. C’est déjà le cas avec Salesforce, qui a signé un accord similaire avec Unagi.
