Horloge scientifique Alimentation saine et mode de vie actif, volume …

Written By Sara Rosso

Rédactrice passionnée depuis plus de de 15 ans. Sara vous trouve les dernières infos

Cette veille réalisée par l’équipe Saine alimentation et mode de vie actif (SAMVA) s’adresse en priorité aux acteurs du réseau public de santé. Les publications scientifiques recensées sont choisies pour leur pertinence pour la promotion d’une alimentation saine et d’un mode de vie physiquement actif, en vue de prévenir les problèmes liés au poids et les maladies chroniques.

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Activité physique et sédentarité

Quels sont les effets des bureaux actifs dans les écoles?

Contexte

Le mode de vie sédentaire des jeunes est associé à un risque accru de problèmes de santé précoces ainsi qu’à une diminution des performances cognitives. A voir aussi : 30 meilleurs tests de vers de farine en 2022 : After Choice Research. Puisque les enfants passent au moins un tiers de leur temps d’éveil en classe, l’école apparaît comme un contexte pertinent pour réduire la sédentarité. Certaines études ont examiné les effets de l’utilisation de différents types de bureaux « actifs » dans les salles de classe.

Objectif

L’objectif de cette revue est de synthétiser l’ensemble de la littérature scientifique existante sur les bureaux « actifs » en milieu scolaire et d’examiner leurs effets sur l’activité physique, le comportement sédentaire, les fonctions cognitives, les performances scolaires et la santé globale des enfants et adolescents de 5 ans. à 17 ans.

Ce qu’on y apprend

Les auteurs ont identifié 25 études portant sur trois types différents de bureaux « actifs » : le bureau droit (n=20), permettant de travailler debout, le bureau vélo (n=3), permettant de pédaler tout en travaillant, et le bureau avec un Suisse ballon comme chaise (n = 2). La majorité des études se sont concentrées sur les enfants du primaire. Le recours aux bureaux « actifs » est très hétérogène, les études actuelles sont de qualité relativement faible et le risque de biais est souvent élevé. Il est donc difficile d’établir des recommandations générales. Cependant, certaines constatations sont possibles :

Au Québec, avec l’avènement du Lab-école ces dernières années, plusieurs propositions ont émergé pour revoir les milieux d’apprentissage. L’une des recommandations proposées dans le document Penser l’école de demain est de « créer des espaces d’apprentissage innovants, intérieurs et extérieurs, qui privilégient le mouvement ». Les résultats de cette revue de la littérature peuvent étayer les réflexions sur l’utilisation de pupitres « actifs » pour stimuler le mouvement des élèves dans la salle de classe.

Guirado, T., Chambonnière, C., Chaput, J.-P., Metz, L., Thivel, D. et Duclos, M. (janvier 2021). « Effets des bureaux actifs en classe sur l’activité physique, le comportement sédentaire, les résultats scolaires et la santé globale des enfants et des adolescents : une revue systématique », International Journal of Environmental Research and Public Health, vol. 18, non. 6, p. 2828. https://www.mdpi.com/1660-4601/18/6/2828.

La pratique d’activité physique chez les adolescents et les jeunes adultes : résumé des évidences disponibles et opportunités d’intervention

Contexte

La population des 10-24 ans représente près du quart de la population mondiale. 80 % des jeunes de ce groupe d’âge ont du mal à être suffisamment actifs. Voir l’article : la nutrition Combien de fibres devriez-vous manger par jour ?. Les bénéfices potentiels associés à une intervention spécifique auprès de cette tranche d’âge sont multiples, alors que les effets pourraient avoir un impact dans l’immédiat et dans la vie adulte. Les bonnes habitudes acquises dès le plus jeune âge se perpétuent à l’âge adulte.

Objectif

L’objectif de cet article est d’identifier les besoins d’information et de suivi en activité physique, ainsi que les interventions possibles et les solutions disponibles pour augmenter la pratique de l’activité physique chez les 10-24 ans.

Ce qu’on y apprend

van Sluijs, E.M.F., Ekelund, U., Crochemore-Silva, I., Guthold, R., Ha, A., Lubans, D., Oyeyemi, A.L., Ding, D. et Katzmarzyk, P.T. (juillet 2021). « Comportements d’activité physique à l’adolescence: preuves actuelles et opportunités d’intervention », The Lancet, vol. 398, non. 10298, p. 429‑442.https://doi.org/10.1016/S0140-6736(21)01259-9.

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Environnement alimentaire

Améliorer l’environnement alimentaire pour faciliter les changements alimentaires des personnes qui tentent de perdre du poids

Contexte

Selon les données de l’Enquête sur la santé de la population du Québec (2014-15), 23 % des adultes ont tenté de perdre du poids au cours des six derniers mois, tandis que 27 % ont tenté de ne pas en reprendre. Voir l’article : Santé : ce qui va changer en 2023. Cependant, les personnes impliquées dans ces démarches sont confrontées à un environnement alimentaire qui n’est pas toujours propice aux saines habitudes alimentaires.

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Objectif

Cette revue systématique explore comment l’environnement alimentaire dans les pays à revenu élevé influence les adultes engagés dans la gestion du poids. Il propose également des mesures et des politiques alimentaires publiques pour rendre l’environnement alimentaire plus favorable.

Ce qu’on y apprend

Les chercheurs ont identifié 26 études qualitatives documentant les expériences de gestion du poids liées à l’environnement alimentaire. L’analyse a révélé que les environnements alimentaires compromettent les efforts de gestion du poids, ce qui rend difficile l’achat et la consommation d’aliments sains, en particulier pour les personnes à faible revenu. En particulier, les personnes en train de perdre du poids doivent faire un effort constant pour naviguer dans l’environnement alimentaire et sont confrontées à la grande disponibilité et accessibilité d’aliments malsains. De plus, le coût plus élevé (réel et perçu) des aliments sains réduit leur accès pour les personnes à faible revenu qui tentent de perdre du poids. Enfin, les situations sociales telles que les repas entre amis sont particulièrement difficiles puisqu’elles incluent souvent le partage de boissons ou d’aliments malsains.

L’environnement alimentaire doit être amélioré pour soutenir les efforts de gestion du poids. Par exemple, les chercheurs proposent de mettre en place des politiques publiques pour qu’il y ait plus de rabais sur les aliments sains et d’aider les entreprises et le secteur public à proposer des aliments sains sur le lieu de travail. En outre, l’étiquetage nutritionnel devrait être simplifié, la commercialisation des aliments malsains restreinte et l’industrie de la restauration rapide devrait proposer des options saines. Enfin, une aide financière devrait être offerte aux personnes à faible revenu pour rendre plus équitable l’accès à une alimentation saine.

Les mesures proposées par les chercheurs sont pertinentes non seulement pour les personnes en processus de gestion de poids, mais aussi pour améliorer l’alimentation de tous les Québécois.

Neve, K.L. et Isaacs, A. (mars 2022). « Comment l’environnement alimentaire influence-t-il les personnes engagées dans la gestion du poids ? » Une revue systématique et une synthèse thématique de la littérature qualitative », Obesity Reviews, vol. 23, non. 3, p. e13398. https://doi.org/10.1111/obr.13398.

Approvisionnement alimentaire en ligne : opportunités et défis pour la santé publique

Contexte

Les applications de commande et de livraison de repas, les boîtes de repas et l’épicerie en ligne ont gagné en popularité au cours des dernières années, mais ont été peu étudiées jusqu’à présent. Leurs effets sur l’alimentation et la santé sont donc méconnus.

Objectif

Cette revue narrative est un portrait rapide des connaissances actuelles et vise à identifier les opportunités et les défis pour l’action de santé publique.

Ce qu’on y apprend

Les principaux avantages de ces modes d’approvisionnement sont leur commodité, le gain de temps, la facilité de passer commande, la possibilité de faire des choix éclairés, la possibilité de découvrir de nouveaux plats ainsi que les commentaires laissés par d’autres. utilisateurs.

Ces modes d’approvisionnement présentent également certains inconvénients, notamment l’impossibilité de choisir les aliments en fonction de leur fraîcheur et de leur qualité, la difficulté d’obtenir des informations sur la valeur nutritionnelle des aliments, le coût du service, etc.

Les auteurs pensent que l’épicerie en ligne et sa livraison pourraient améliorer l’accès physique à la nourriture pour les personnes à mobilité réduite ou les personnes vivant dans des zones à faible accès aux commerces. Aussi, les plateformes en ligne représenteraient une opportunité de collaborer avec les commerçants pour influencer positivement la qualité des aliments choisis en ligne par les consommateurs (ex. proposer des aliments sains à mettre dans le panier, faire la publicité d’aliments sains, etc.).

Les auteurs concluent que les connaissances scientifiques et la compréhension des effets de ces modes d’approvisionnement sur la qualité de l’alimentation sont fragmentaires et que des recherches supplémentaires sont essentielles pour éclairer l’action de santé publique.

Fernandez, M.A. et Raine, K.D. (novembre 2021). « Digital Food Retail: Public Health Opportunities », Nutrients, vol. 13, non. 11, p. 3789. https://doi.org/10.3390/nu13113789.

L’alimentation des Québécois diffère-t-elle selon leur statut d’insécurité alimentaire?

Contexte

En 2017-2018, selon les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC), 11,1 % des ménages québécois étaient en situation d’insécurité alimentaire. Un tel accès insuffisant ou incertain à la nourriture, en raison d’un manque de ressources financières, peut constituer un défi pour une alimentation saine.

Objectif

À partir des données québécoises de l’ESCC 2015 (n = 2203), cette étude explore, entre autres, les associations entre l’apport alimentaire et le niveau d’insécurité alimentaire (insécurité marginale et insécurité modérée ou sévère), dans la population adulte québécoise.

Ce qu’on y apprend

Au Québec, en 2015, les apports alimentaires diffèrent selon le statut d’insécurité alimentaire. En fait, les adultes vivant dans des ménages en insécurité alimentaire modérée ou sévère sont moins susceptibles de consommer trois repas par jour, comparativement aux adultes en sécurité alimentaire (56 % contre 85 %). De plus, leur alimentation quotidienne compte 1,5 portion de légumes et de fruits en moins (3,63 vs 5,22 portions) et ils consomment moins de fibres, de sodium, de potassium, de magnésium, de phosphore, de fer et de zinc. Les adultes des ménages en situation d’insécurité alimentaire marginale consomment également moins de légumes et de fruits que ceux en sécurité alimentaire.

Sur une autre note, comme le soulignent les auteurs de l’article, l’insécurité alimentaire a été exacerbée avec la pandémie de COVID-19. Selon un sondage de l’Institut national de santé publique du Québec, au début de la pandémie, début avril 2020, un adulte québécois sur quatre (25 %) vivait dans un ménage en situation d’insécurité alimentaire. Les auteurs notent que la prévalence a diminué à 21 % à la mi-avril 2020, lorsque la Prestation canadienne d’urgence a été introduite pour fournir un soutien financier, en particulier aux personnes qui avaient perdu leur emploi. Face à ce constat, les auteurs de l’étude soutiennent « […] la pertinence des mesures de soutien des revenus pour réduire l’insécurité alimentaire puisque la capacité financière est l’un des principaux déterminants de l’insécurité alimentaire ».

Plante, C., Hamel, D., Rochette, L., Riopel Meunier, J., Larocque, I. et Dubé, È. (2021). « L’insécurité alimentaire en temps de pandémie de COVID-19 et les inégalités alimentaires au Québec ». Science de la nutrition en évolution, 18(3), 9–15. https://doi.org/10.7202/1076355ar

Insécurité alimentaire et aliments traditionnels : résultats de l’Étude sur l’alimentation, la nutrition et l’environnement chez les Premières Nations

Contexte

Au Canada, il existe des lacunes dans les connaissances sur les habitudes alimentaires, les aliments traditionnels et les contaminants présents dans ces aliments traditionnels et l’eau du robinet auxquels les Premières Nations sont exposées. L’exclusion des populations des Premières Nations vivant dans les réserves des enquêtes nationales peut expliquer ces lacunes.

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Objectif

Les objectifs de cette vaste étude étaient de déterminer : 1) les habitudes de consommation d’aliments traditionnels et de marché et l’apport nutritionnel chez les adultes vivant dans les réserves; 2) la prévalence de l’insécurité alimentaire ; 3) exposition à des contaminants chimiques dans les aliments traditionnels et l’eau du robinet; 4) Types et quantité de produits pharmaceutiques agricoles, vétérinaires et humains présents dans les eaux de surface.

Ce qu’on y apprend

De 2008 à 2016, des données ont été recueillies auprès de 6 487 adultes de 92 Premières Nations au Canada.

La consommation d’aliments traditionnels a été signalée par presque tous les participants. Les jours où ces aliments étaient consommés, les apports de presque tous les nutriments étaient considérablement augmentés tandis que l’apport en graisses saturées était réduit. Les obstacles signalés à la collecte d’aliments traditionnels comprennent les contraintes financières et domestiques, les activités industrielles, les réglementations gouvernementales, le changement climatique et la peur de la contamination.

Selon les résultats, la prévalence de l’insécurité alimentaire est très élevée (48%). Le coût de la nourriture est un problème, surtout dans les collectivités situées à l’extérieur des grands centres urbains. L’analyse des apports nutritionnels des participants montre que les habitudes alimentaires de plusieurs adultes des Premières Nations sont inadéquates.

L’exposition à des contaminants ou la peur de la contamination peut influencer la consommation d’aliments traditionnels et d’eau du robinet. Par exemple, les métaux peuvent affecter la couleur et le goût de l’eau, ce qui limite son acceptabilité et son utilisation.

Enfin, six recommandations aux décideurs sont faites par les chercheurs, dont le soutien aux initiatives qui promeuvent les droits autochtones, la souveraineté, l’autodétermination, les valeurs et la culture, la protection de l’environnement et le renforcement des capacités pour éliminer les obstacles à une saine alimentation et réduire la consommation alimentaire. insécurité.

Collectif (2021). Étude sur l’alimentation, la nutrition et l’environnement des Premières Nations de l’EANEPN — Résumé des conclusions et des recommandations pour huit régions de l’Assemblée des Premières Nations 2008-2018 (consulté le 27 janvier 2022).

Batal, M., Chan, H.M., Fediuk, K., Ing, A., Berti, P.R., Mercille, G., Sadik, T. et Johnson-Down, L. (juin 2021). « Les ménages des Premières Nations vivant dans les réserves connaissent l’insécurité alimentaire : prévalence et prédicteurs parmi quatre-vingt-douze communautés des Premières Nations à travers le Canada », Revue canadienne de santé publique, vol. 112, n° Suppl 1, p. 52-63.

Voir l’article :
La deuxième édition du Colloque international sur la sécurité sanitaire des aliments…

Environnement bâti

Les caractéristiques de l’environnement bâti autour des stations du futur Réseau express métropolitain (REM) sont-elles favorables au transport actif?

Contexte

L’implantation de stations de transport en commun a le potentiel d’augmenter le transport actif utilitaire, particulièrement autour d’elles. La promotion du transport actif par ces nouvelles infrastructures peut contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre, augmenter la pratique d’activité physique et améliorer la santé de la population. Cependant, les gains sont plus importants lorsque l’environnement bâti autour des gares est propice au transport actif.

Objectif

L’objectif de cette étude est de mesurer les caractéristiques de l’environnement bâti à l’échelle micro (500 m) autour de chaque gare avant l’arrivée du Réseau Express Métropolitain (REM). Le REM, situé à Montréal, est un projet de métro léger. A terme, il sera composé de 67 kilomètres de réseau et de 26 stations, l’ouverture est prévue pour 2022.

Ce qu’on y apprend

Les chercheurs ont utilisé une mini-grille existante et validée composée de 17 questions portant sur différents éléments (ex. intersections, mobilier urbain, infrastructures piétonnières et cyclables) de l’environnement bâti pouvant favoriser le transport actif. Ce maillage a été appliqué autour des 26 stations du REM. Plus de 848 segments de rue ont été évalués. Les résultats des analyses illustrent une disparité dans les éléments du cadre bâti favorables au transport actif autour des différentes gares. Les gares situées en banlieue sont moins favorables au transport actif. Il y a quelques exceptions. Les résultats ont également montré qu’il n’y avait pas de disparités dans les caractéristiques de l’environnement selon le statut socio-économique des quartiers. Selon les auteurs, pour rendre l’environnement plus favorable, des interventions telles que l’ajout de trottoirs avec saillies, ainsi que de pistes cyclables, pourraient grandement contribuer à améliorer l’environnement bâti autour de ces gares.

Cette grille, courte, simple et relativement facile à utiliser, permet de mesurer les caractéristiques de l’environnement bâti. De tels maillages méritent d’être utilisés dans les projets d’aménagement du territoire dont l’un des objectifs est de créer et de développer des environnements favorables au transport actif.

Daley, J., Rodrigue, L., Ravensbergen, L., DeWeese, J., Butler, G., Kestens, Y. et El-Geneidy, A. (mars 2022). « Audit à micro-échelle à pied du réseau de métro léger à Montréal Canada », Journal of Transport & Santé, vol. 24, p. 101317. https://doi.org/10.1016/j.jth.2021.101317.

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Prévention de l’obésité

Les services d’accueil de la petite enfance sont des lieux de choix pour la prévention de l’obésité

Contexte

Les services à la petite enfance (par exemple, les services de garde et les centres de la petite enfance) rejoignent un grand nombre d’enfants pendant des périodes prolongées et régulières à une période fondamentale de la vie. À ce titre, ils constituent un contexte pertinent pour la mise en place de stratégies de prévention de l’obésité axées sur les comportements alimentaires et l’activité physique.

Objectif

Cette revue fournit une revue systématique, une évaluation de la qualité et une synthèse des différentes politiques et directives en matière de comportement alimentaire et d’activité physique en place dans les structures d’accueil de la petite enfance des pays à revenu élevé.

Ce qu’on y apprend

La recherche a inclus 38 publications. Les Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures faisaient partie du corpus examiné. Dans l’ensemble, la qualité des lignes directrices présentées dans les publications examinées a été jugée élevée pour leur pertinence.

Concernant les comportements alimentaires :

Concernant l’activité physique :

Équipe Saine alimentation et mode de vie actif

Jackson, J.K., Jones, J., Nguyen, H., Davies, I., Lum, M., Grady, A. et Yoong, S.L. (janvier 2021). « Prévention de l’obésité dans le cadre de l’éducation et des soins de la petite enfance : un examen systématique des politiques et directives en matière de comportement alimentaire et d’activité physique dans les pays à revenu élevé », International Journal of Environmental Research and Public Health, vol. 18, non. 2, p. 838.

Pour toute question ou commentaire concernant cette veille scientifique, veuillez contacter Julie Maltais-Giguère au [email protected]

Les numéros précédents sont disponibles sur le site Internet de l’INSPQ à l’adresse suivante : https://www.inspq.qc.ca/saine-alimentation-mode-vie-actif/veille-scientifique

Rédacteurs

Ce suivi est réalisé grâce à la participation financière du Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS)

Amélie BergeronMaryse CaronGabrielle DuretteAnnie Gauthier

Julie Maltais-GiguèreMarie-Claude PaquetteÉtienne PigeonÉric Robitaille

Équipe de saine alimentation et de vie active