Ce yoga « jeunesse » (créé en 1992 par la sexagénaire Dinah Rodrigues) vise à aider les femmes à harmoniser (voire réactiver) leurs sécrétions hormonales et, en même temps, à limiter les effets de la ménopause. Recommandé également en cas de kystes ovariens. Plus généralement, il renforce l’organisme et augmente la vitalité.
Au programme : postures, respiration vigoureuse et travail énergétique. Les exercices dynamiques associés à une respiration spécifique permettent, en interne, de masser vigoureusement le corps. Par l’effort de concentration, l’énergie est dirigée vers le domaine de la production d’hormones. Au final, nous avons eu une séance à la fois rafraîchissante et déstressante.
Pour tester si… vous pouvez consacrer 30 à 45 minutes chaque jour de la semaine à votre tapis de course. La régularité et l’endurance – surtout les premiers mois – sont en effet importantes pour mesurer l’effet. Conseil Ulrike Zander, enseignante à Paris et en ligne : « Au quotidien, cette pratique fait des merveilles et a donc peu de contre-indications. Il est préférable de l’éviter si vous avez ou avez eu un cancer, surtout ceux qui sont hormono-dépendants. » Femmes atteintes d’endométriose, fibromes utérins importants , ostéoporose sévère, ou problèmes cardiaques doivent également s’abstenir. En cas de doute, il est préférable de demander conseil à votre médecin et de lui faire savoir que ce type de yoga agit sur le système endocrinien. Pour intégrer toutes les subtilités du yoga hormonal, (. ..)
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