Initiative de la municipalité approuvée – Meyrin vote…

Written By Sara Rosso

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Le Conseil d’État a donné son feu vert à un texte qui demande le maintien d’un centre équestre menacé.

Le Conseil Municipal de Meyrin a désormais trois mois pour inscrire à son ordre du jour l’initiative « Pour le maintien d’un manège sur la commune de Meyrin ». A voir aussi : Comment débuter en salle de musculation : les meilleurs conseils.

Le Conseil d’Etat a validé ce mercredi l’initiative populaire municipale « Pour le maintien d’un manège sur la commune de Meyrin ». Elle demande la prolongation du droit de superficie dont bénéficie l’actuel exploitant au-delà de 2026, terme qui devrait permettre la construction et le transfert du carrousel vers une nouvelle zone communale réservée à cet effet. L’initiative doit maintenant être présentée au Conseil Municipal et au Conseil d’Administration de Meyrin.

A compter de la publication de l’arrêté en Conseil d’Etat au Bulletin de diffusion, l’initiative doit être inscrite à l’ordre du jour de la Délibération dans un délai de trois mois. L’objet sera accompagné d’un rapport du Conseil d’Administration sur son examen.

Délai d’un an

Le conseil municipal aura alors jusqu’au 2 septembre 2023 pour statuer sur cette initiative portée par l’UDC et le PLR, soit douze mois après son aboutissement, le 31 août 2022. Sur le même sujet : Respect et éducation, les maîtres mots d’une bonne formation dans le livre des haras Selle Français. La proposition de maintien du carrousel avait été paraphé par 2 073 citoyens, tandis qu’un minimum de 1 336 signatures devait être recueilli.

« Et s’il y a opposition, il y aura vote populaire », avait prévenu Jean-François Girardet, ancien conseiller et député municipal, représentant de l’initiative, lors de la validation de son résultat. Il semble que Meyrin n’ait pas fini de parler de sa promenade.

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Eric Budry est journaliste, attaché à la Tribune de Genève, et couvre plus spécifiquement la politique cantonale. Titulaire d’une maîtrise en sciences politiques de l’Université de Genève, il a travaillé pour plusieurs journaux avant de rejoindre le quotidien genevois en 2000. Plus d’informations

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