Vaper c’est mieux que fumer mais il n’y a pas de danger. Après deux ans de travail, le Conseil Supérieur de la Santé a rendu un nouveau rapport sur la cigarette électronique. Bien que la plupart des experts s’accordent à dire qu’elle est nettement moins nocive que la cigarette ordinaire, elle a tout de même des effets secondaires en termes d’addiction et de santé.
Il est apparu il y a une dizaine d’années que les cigarettes électroniques étaient vendues aux fumeurs comme substitut aux cigarettes ordinaires dans le but d’arrêter de fumer. Le vapoteur représente aujourd’hui un marché du bonbon d’environ 10 milliards de dollars dans le monde. Qu’il suffise de dire que nous avons tout sur le marché, appelé le bon et le mauvais. En deux ans de travail, le Conseil Supérieur de la Santé a rendu un deuxième rapport sur les bénéfices et les risques liés à l’utilisation de cet appareil pour les fumeurs, les non-fumeurs et les adolescents.
Préférable au tabac, mais pas sans risques

Scientifique dans l’étude des risques pour la santé, le professeur Luc Pussemier était l’un des nombreux experts qui ont présenté leurs conclusions sur le sujet : « Le tabac est extrêmement dangereux et clairement démontré et identifier les risques de l’utilisation de la cigarette électronique pour les fumeurs permettra de les améliorer. Ils s’exposent à une série de substances nocives. Ceci pourrez vous intéresser : Moustiques : comment protéger bébé ?. Ainsi, pour leur santé, il est bien préférable qu’ils commencent à utiliser des e-cigarettes plutôt que de continuer à fumer une cigarette ordinaire. Pour les non-fumeurs et les jeunes, nous leur recommandons de ne pas continuer à ils sont tentés par ces nouvelles inventions, entre autres pour le risque d’addiction. »
Feu vert pour une aide au sevrage tabagique, mais attention à l’accoutumance
Pour le Conseil supérieur de la santé, les dangers de la cigarette électronique sont clairs par rapport à la fumée secondaire. Les cigarettes électroniques sont moins nocives que les cigarettes ordinaires. Sur le même sujet : La métropole de Grenoble. Forum Senior : Conseils pour bien vieillir. Bien que les opinions divergent parmi les experts et les organisations, il est pertinent que le CSS soit une meilleure alternative au tabac pour les fumeurs et puisse être utilisé comme une aide au sevrage tabagique.
Le professeur Luc Pussemier appelle tout de même à la prudence : « Les cigarettes électroniques peuvent contenir ou non de la nicotine. Pour les fumeurs qui veulent arrêter de fumer, ils ont besoin de cette nicotine pour le sevrage. Ils doivent bien la contrôler. Cet apport en nicotine est progressivement réduit. Sans Ceci., nous ne pouvons pas considérer les e-cigarettes comme un outil anti-tabac pour ces fumeurs.
« Cela dit, la présence de nicotine peut engendrer des problèmes d’addiction. La peur des e-cigarettes crée une nouvelle addiction selon ce médicament via la nicotine. »
Des études et un contrôle plus strict pour les e-liquides

Le Conseil supérieur de la santé est également préoccupé par le fait que les e-liquides contiennent un certain nombre de produits chimiques qui ne fournissent pas d’informations sur l’inhalation toxique. Ces liquides sont chauffés par chauffage électronique pour générer de la vapeur puis purifiés. Voir l’article : L’hôpital Pasteur de Cherbourg-en-Cotentin ouvre grand les bras aux futurs dentistes. Ces nombreux arômes et ingrédients sont généralement autorisés dans les aliments. Le problème est qu’il n’y a pas assez de prise de conscience des effets lors de la respiration.
Nous recommandons de geler la liste des parfums autorisés
Aujourd’hui, plus de 1800 articles sont disponibles sur le marché. Le Conseil supérieur de la santé a conclu que l’utilisation de ces e-liquides ne peut être prouvée sans danger. C’est pourquoi il a appelé les autorités politiques à réglementer la sécurité de ces arômes et ingrédients. Le professeur Luc Pussemier, qui a participé à la rédaction de ce rapport, adhère à ce conseil : « Jusqu’à présent, lorsqu’un éditeur voulait mettre une cigarette électrique sur le marché, il devait notifier son produit au SPF Santé publique. mettre sur le marché.Nous recommandons de congeler la liste des arômes agréés Ne pas accepter de nouveaux produits non commercialisés en Belgique, et étudier progressivement les effets d’inhalation de ces liquides pour étayer cette liste de dangers potentiels, et se serait glissée dans la fissures. »
Le Conseil supérieur de la santé recommande d’encadrer la législation politique sur les e-cigarettes de la même manière que les cigarettes ordinaires (publicité, accès, accès, protection de la jeunesse, etc.). Pour que les cigarettes électroniques soient sûres, les données sur les effets à long terme de ces substances sont très limitées.