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La Cnil européenne est très critique à l’égard de la proposition législative de la Commission européenne relative à la lutte contre la pédopornographie. Le comité européen de la protection des données (EDPB pour European Data Protection Board), organe consultatif regroupant les CNIL européennes, a rendu un avis le 29 juillet 2022 confirmant que le texte fait peser des risques graves sur les droits fondamentaux.
Un texte qui doit être précisé


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Dans cette position commune du CEPD et du Contrôleur européen de la protection des données (CEPD), les autorités précisent : « Les restrictions aux droits à la vie privée et à la protection des données doivent respecter l’essence des droits fondamentaux et rester limitées à ce qui est strictement nécessaire et proportionné. »&# xD ; Voir l’article : Le Conseil général du Val-de-Marne lance un site internet indépendant.
Un accès aux communications


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En mai dernier, la Commission européenne a dévoilé une proposition législative qui comprend des obligations de détection, de signalement, de suppression et de blocage de tout matériel d’exploitation sexuelle d’enfants (CSAM, pour child sexual abuse material), ainsi que de « contact » – une pratique qui consiste à se lier d’amitié avec des enfants et gagner leur confiance pour les gagner à des fins sexuelles. Ceci pourrez vous intéresser : API Vulnerability To Cryptocurrency Platform aurait permis le rachat du Big Account. Ces obligations s’appliquent par exemple aux fournisseurs de messagerie, aux hébergeurs, aux fournisseurs d’accès à Internet et aux magasins d’applications.