Le ministère des Armées annonce les huit lauréats du…

Rédactrice passionnée depuis plus de de 15 ans. Sara vous trouve les dernières infos

La secrétaire d’État auprès du ministre des Armées et ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, chargée de la Jeunesse et du Service national universel, Sarah El Haïry, a remis le Prix Audace 2022 aux innovateurs de huit projets de l’État-major de la Armées des Forces Armées, la Direction Générale de l’Armement, le Secrétariat Général d’Administration, les trois armées et la Gendarmerie Nationale Audacia 2022, le 26 janvier au Laboratoire d’Innovation Défense.

Décerné et financé par la fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque, le prix Audace récompense tous les deux ans des innovateurs issus de la gendarmerie, des armées, de la DGA (Direction Générale de l’Armement) et du SGA (Secrétariat Général d’Administration).

Organizado por la Agencia de Innovación de la Defensa (AID), este premio valora y premia, con hasta 2.500 € por proyecto, al personal civil o militar que imagine y desarrolle nuevos equipos y servicios, mejorando así las capacidades operativas de las fuerzas o el jour après jour. fonctionnement quotidien de l’établissement.

Les projets sont évalués sur la base de :

Le prix de l’Audace 2022

Sous la Marine Nationale : Lire aussi : Les constructeurs craignent un revirement en 2023.

Lieutenant Christophe du Centre d’Expérimentation Pratique et d’Accueil de l’Aéronautique Navale (CEPA/10S) et Commandant Gautier de la base aéronavale de Landivisiau, pour le projet « SPEEN », qui vise à comprendre et anticiper la survenance d’événements physiologiques en vol des événements inexpliqués qui pourraient entraîner la perte d’un avion.

SPEEN est un projet textile intelligent qui permet de surveiller le pilote pendant un vol pour mesurer ses paramètres instantanés (dont la pression partielle d’oxygène), l’alerter d’une situation non détectée et prédire une situation critique à ce moment avec l’aide de l’intelligence artificielle. Les recherches ont été menées en partenariat avec l’Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA), le Département de Médecine Aéronautique Opérationnelle (DMAO), et les sociétés Carré Technologie et Knopé.

À Lire  3 métiers à confier à un plombier dans votre jardin

L’appareil se compose d’une chemise et d’une cagoule ignifugées avec des capteurs qui mesurent :

Les données sont collectées et stockées dans un boitier intégré au maillot. L’enjeu de ce projet est d’améliorer la sécurité des vols en alertant le pilote d’éventuelles défaillances physiologiques dans un environnement extrême. L’enjeu réside dans l’intégration d’un tel dispositif dans une cabine.

Concernant l’Etat-Major des Armées (EMA) :

Il dépend de la Direction Générale de l’Armement (DGA) :

M. Pierre-Henri du centre de spécialisation « ingénierie de projet » de la DGA et le commandant de bataillon Nicolás de la section technique de l’armée de terre pour le projet « CAPN5 ». Il s’agit d’un calculateur robuste conçu pour le commandant d’unité d’infanterie afin de vous permettre de commander efficacement votre unité dans les phases débarquées tout en conservant toutes les fonctionnalités de SCORPION. Ce projet a été développé avec les sociétés ADREM, OUTERVISION et ATOS.

Dépendant du Secrétariat Général de l’Administration (SGA) :

Mme Rebecca de la Délégation à la Transformation et à l’Action Ministérielle, pour son projet « Visión 360 » pour l’annotation automatique des images d’archives de la défense. Ce projet permet d’automatiser la tâche d’annotation, d’améliorer le stock d’images et de vidéos de l’Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de Défense (ECPAD) et d’indexer 13 millions d’images ECPAD.

Sous l’armée :

Lieutenant-colonel Fabian des sapeurs-pompiers de Paris pour le projet d’appareil d’extinction à buse air-eau « DELTAE », un système d’extinction d’incendie à très haut rendement permettant une utilisation rationnelle de l’eau. Ce dispositif réduit drastiquement la consommation d’eau lors de la lutte contre les incendies (de 5 à 8 fois moins d’eau), tout en améliorant la sécurité des intervenants grâce au brouillard généré. Le projet a été développé avec la société ZELUP SAS.

À Lire  Immobilier : un immeuble de Maisons Pierre a été mis en liquidation...

Concernant l’Armée de l’Air et de l’Espace :

Adjudant Hugo du Centre d’étalonnage de la Défense pour le projet « CAVOC », qui permet l’utilisation d’un drone pour régler les aides visuelles à l’atterrissage. Elle remplace la méthode historique utilisant un avion pour l’étalonnage des quarante indicateurs de pente d’approche (P.A.P.I. – Precision Approach Path Indicator). Cette innovation est déployée opérationnellement sur tous les aérodromes de la Défense. Le projet a été développé en collaboration avec la Direction Générale de l’Aviation Civile.

Sous la gendarmerie nationale :

Adjudant Stéphane pour le projet « SGATI », un tracker de localisation hybride et autonome qui intègre diverses technologies basse consommation. Son objectif est de mettre en place un écosystème français de géolocalisation basé sur la technologie Internet des Objets (IoT) offrant une couverture mondiale ; réduire la consommation d’énergie tout en maintenant une haute qualité de réponse ; et créez un module flexible, discret et évolutif sans changer de matériel. Le projet a été développé avec les sociétés SYNTONY GNSS et SEE/SELECOM.

A voir aussi :
La réforme énergétique est un enjeu majeur en raison du changement climatique…