Le chiffre parle de lui-même : 72 % ! C’est le pourcentage de Français qui ne dorment pas bien. Un chiffre qui a nettement augmenté puisqu’il n’était que de 55% en 2018. Mais, mais… Et c’est le sujet de notre article du jour, 47% de ces mêmes insomniaques acceptent de dormir après 23h en 2018, un chiffre qui atteint 61% en 2022. Il s’explique. Pour continuer deux secondes en chiffres avant d’entrer dans le vif du sujet, 77% conviennent qu’ils repartent le lendemain sans l’énergie pour affronter les tâches difficiles qui les attendent. Tant pis pour que les statistiques officielles se terminent par un seul conseil : il est temps de dormir !
Et là Docteur PresseLib vous emmène en voyage dans les pays ch’Nord, mais le vrai ch’Nord, les pays scandinaves, la Norvège, la Suède, etc. Où nous étions depuis une semaine pour parler de Koselig, l’art de bien vivre. Qu’est-ce qui nous permet de faire un constat en forme de conclusion : est-ce un hasard si ces personnes sont les plus heureuses sur l’échelle de la satisfaction ? Non, disons-nous avec une réponse neutre.
Venez dîner ce soir, au plus tard à 18h !
Tout commence tôt, car, bien sûr, pour dormir tôt et tirer le meilleur parti, il faut manger tôt. Ceux qui ont voyagé en Finlande le remarqueront : là-bas, on se met à table vers 17h. Il doit se lever tôt le matin, commencer la journée de travail vers 7h30-8h du matin et finir entre 16h et 17h le soir. Par conséquent, les heures de repas s’adaptent automatiquement à ce rythme. Que vous alliez au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas, c’est la même histoire : nous dînons au plus tard à 18 heures. Où on s’énerve en disant « c’est des fous ces Nordistes ! » fête scientifique. Car, à l’évidence, manger à 20 heures ou plus tard entraînera une glycémie élevée et de l’insuline, ce qui fera… attention on y va ! C’est à cause du vide (mécanisme interne majeur) qui va se produire pendant le sommeil, et cela demande beaucoup d’énergie à votre corps pour qu’il ne veuille pas sombrer entre les mains de Morphée ou de ses disciples de n’importe qui d’autre… Imaginez essayer de dormir. à côté d’une grande turbine qui ronronne, vibre, secoue et fait du bruit. Pas parfait pour des vacances ? Mais voici ce que vous faites à votre corps en lui disant de dormir après une collation de fin de soirée.
Si l’on remonte aux pays scandinaves, le manque d’ensoleillement les a longtemps contraints à être plus prudents en termes de bonne santé. C’est un cercle pur en effet ! Ils mangent vite et avec des aliments pleins du fameux tryptophane, l’acide aminé précurseur de la sérotonine… l’hormone du bonheur ! Ce qui améliore aussi le sommeil (enfin, bon) et la sécheresse. La boucle est bouclée. Où trouve-t-on le tryptophane ? Dans le riz brun, les céréales, les poissons gras, les œufs ou les produits laitiers. La nourriture au menu de tout bon repas nordique, explique tout, eurêka ! Je ne résiste pas à la joie d’une autre statistique, cette fois de la FAO (Organisation pour l’alimentation et l’agriculture) : en Finlande, les produits laitiers représentent 40,4 % des produits consommés. Un chiffre qui permet à notre bon professeur Henri Joyeux de voir le rouge, qui mène une lutte acharnée contre les mêmes produits laitiers, mais chez lui, l’oncologue parle, et pour une lecture les quantités ne sont pas soumises au même prix ni à la même production. d’ailleurs. Alors, dormez bien pendant que votre santé s’améliore : dînez tôt et mangez tout ce qui est mentionné sans lait (j’adore le professeur Merry, je ne veux pas le détester autant).
Pour compléter votre preuve et avant de vous endormir dans le sommeil de la justice, à la fin, rappelez-vous que manger vite prévient le diabète, le cancer, les maladies cardiaques et aide également à réduire le poids. Comme dit le proverbe : sacs de couchage rapides !