Même si vous avez suivi chaque étape pour louer votre bien en toute tranquillité, n’oubliez pas de mettre une enveloppe sur les risques. La vérité est que votre propriété est vivante et peut avoir besoin de réparations de temps à autre. Si l’entretien et les petites réparations sont à la charge du locataire, les travaux restent à la charge du bailleur… et ce sont les plus coûteux : problèmes électriques, problèmes de chauffage ou réparation de canalisation. De plus, si votre investissement est dans une copropriété, des travaux dans l’immeuble peuvent parfois être nécessaires, notamment dans le cas d’un ascenseur en panne, qui ne peut être prévu au préalable. Pensez aussi à la rénovation des parties communes ! Certes, cela se fait après l’élection lors de l’assemblée générale où la copropriété peut appeler des fonds pour travaux, mais c’est mieux si c’est prévu à l’avance pour que ça ne passe pas à côté.
Enfin, rappelez-vous toujours que les propriétaires sont souvent exposés aux risques des espaces ouverts. Bien sûr, lorsque votre locataire déménage, vous pouvez avoir du mal à trouver un nouveau locataire. C’est pourquoi vous n’aurez aucun revenu salarial pendant cette période, ce qui peut peser sur le remboursement de votre prêt par exemple. Si votre logement n’est pas bien situé, il peut être judicieux de souscrire une assurance vacance payante pour vous protéger.