Malgré la crise, l’immobilier locatif a la cote auprès des Belges même si les craintes demeurent

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La crise économique n’a pas ébranlé la confiance des Belges dans la brique. Une étude réalisée par Masteos, société spécialisée dans l’investissement clé en main, révèle que les Belges souhaitent toujours investir dans l’immobilier locatif. Cependant, certains obstacles entravent leur projet d’investissement.

La situation économique difficile actuelle et les fluctuations du marché immobilier ne changent pas la confiance des Belges à investir dans l’immobilier, révèle une étude de la société Masteos*. Cette dernière, fondée en 2019 en France, est spécialisée dans les investissements locatifs clés en main. Récemment implanté en Belgique, Masteos accompagne les investisseurs belges dans leur projet locatif.

Un tel investissement est toujours considéré comme l’un des investissements préférés des Belges. 88% des répondants pensent que l’immobilier est un placement sûr. 90% d’entre eux pensent que l’immobilier est un investissement rentable. Le désir de posséder un bien immobilier reste important pour près de la moitié des Belges qui souhaitent investir dans le secteur. Cependant, pour 56% des répondants, la situation économique actuelle n’est pas une période favorable à l’investissement. Masteos note que 29% jouent la sécurité, préférant épargner plutôt qu’investir.

L’investissement locatif attire

Avec l’achat d’une résidence secondaire (19%), l’investissement locatif arrive en deuxième position, derrière l’immobilier en résidence principale (28%). Au total, 9% des sondés ont déjà investi dans un bien immobilier locatif, 7% y pensent en 2022, et 27% à plus long terme. Lire aussi : PARIS : le succès de la colocation dans l’investissement immobilier » Lettre économique et politique de PACA.

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Des craintes

L’étude Masteos suscite également des craintes belges liées à cet investissement locatif. Un certain nombre de freins subsistent pour une partie de la population. Voir l’article : Jean-Paul Scheuren : « Le logement ne tombe pas du ciel ». Ils sont principalement liés au financement et à l’accompagnement de leur projet.

Les craintes exprimées sont nombreuses. L’impossibilité d’investir sans apport (67%), le non-paiement des locataires (79%), le coût des travaux de rénovation (80%) ou la complexité des démarches (75%) sont les principales raisons de ceux qui n’envisagent pas investir, révèle l’étude Masteros.

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Des différences entre hommes et femmes

La recherche révèle également que les hommes et les femmes perçoivent différemment ce type d’investissement. Voir l’article : En Chine, la banque centrale baisse les taux d’intérêt, désormais à des niveaux historiquement bas. Parmi les femmes interrogées, plus de 61% n’avaient jamais envisagé d’investir dans un bien locatif, contre un peu plus de 52% des hommes.

Aussi, pour 82% des femmes (et 79% des hommes), la peur d’éventuels travaux de restauration est un frein au démarrage. 82% d’entre elles (contre 74% des hommes) ont peur que le locataire ne les paie pas.

Les obstacles à l’investissement varient également selon l’âge. Pour la tranche d’âge 24-35 ans, l’obstacle le plus important concerne les conditions d’octroi de crédit (47 %), pour les 35-49 ans 35 % et pour les 50-55 ans 31 %. La propension à épargner est plus présente entre 35-49 ans et 50-55 ans, avec respectivement 33 et 31 %, et 24 % chez les plus jeunes.

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Parmi les Belges qui cherchent à investir dans des biens locatifs, le financement est la principale crainte mentionnée par ceux qui cherchent à investir. Pour 54% d’entre eux, l’apport personnel représente un frein à un éventuel investissement. A noter qu’elle est plus importante pour les femmes que pour les hommes (71% vs 64%).

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Par Esther Attias

300.000 euros de budget

Concrètement, 89% des sondés qui souhaitent investir dans la location disposent d’un budget allant jusqu’à 300 000 euros et 74% des sondés déclarent que les opportunités trouvées dépassent leur budget. 30% des sondés disposent de moins de 100 000 euros à consacrer à leur projet locatif.

En raison du manque de visibilité lié à la guerre en Ukraine et à son impact, la majorité des Belges craignent de ne pas être agréés en crédit (37%).

Masteos note également une méconnaissance des habitants sur les rendements locatifs des différentes régions et une certaine prudence à l’idée d’investir en dehors de la région où ils habitent (59%). Ce désir d’investir près de chez eux est également un peu plus important chez les femmes que chez les hommes (62% contre 57%).

Des démarches complexes

La complexité des démarches d’un investissement locatif apparaît comme l’une des principales raisons (61%) invoquées par les hommes comme par les femmes pour ne pas vouloir investir.

Dans le même temps, un Belge sur deux qui souhaite investir trouve que les démarches pour investir dans le locatif sont trop compliquées et souhaiterait suivre leurs démarches (75%). Et ceci principalement pour la réalisation d’investissement locatif ainsi que pour la réalisation de travaux de rénovation.

Pour Masteos, cela confirme le fait que l’investissement locatif est une véritable barrière pour un candidat acquéreur. Au moins 250 heures doivent être consacrées à l’acquisition d’un bien immobilier, qui implique plusieurs clients et nécessite la maîtrise de nombreuses expériences techniques.

* Etude Poll&Roll pour Masteos, réalisée du 20.04.22 au 25.04.23 auprès de 1000 personnes. 56% néerlandophones, 44% francophones. Tranches d’âge : 25-55 ans (46 % 25-39 ans/54 % 40-55 ans). Le panel est composé de 50% d’hommes, 49% de femmes et 1% de non informés. 66 % sont employés à temps plein (83 % sont des professionnels salariés).

La situation économique difficile actuelle et les fluctuations du marché immobilier ne changent pas la confiance des Belges à investir dans l’immobilier, révèle une étude de la société Masteos*. Cette dernière, fondée en 2019 en France, est spécialisée dans les investissements locatifs clés en main. La société Masteos, récemment installée en Belgique, accompagne les investisseurs belges dans leur projet locatif, un tel investissement étant toujours considéré comme l’un des investissements préférés des Belges. 88% des répondants pensent que l’immobilier est un placement sûr. 90% d’entre eux pensent que l’immobilier est un investissement rentable. Le désir de posséder un bien immobilier reste important pour près de la moitié des Belges qui souhaitent investir dans le secteur. Cependant, pour 56% des répondants, la situation économique actuelle n’est pas une période favorable à l’investissement. Masteos note que 29% jouent la sécurité, préférant épargner plutôt qu’investir. Avec l’achat d’une résidence secondaire (19%), l’investissement locatif arrive en deuxième position, derrière l’immobilier en résidence principale (28%). Au total, 9% des sondés ont déjà investi dans un bien immobilier locatif, 7% y pensent en 2022, et 27% à plus long terme. L’étude Masteos suscite également des craintes belges liées à cet investissement locatif. Un certain nombre de freins subsistent pour une partie de la population. Ils sont principalement liés au financement et à l’accompagnement de leur projet. Les craintes exprimées sont nombreuses. L’impossibilité d’investir sans apport (67%), le non-paiement des locataires (79%), le coût des travaux de rénovation (80%) ou la complexité des démarches (75%) sont les principales raisons de ceux qui n’envisagent pas investir, révèle l’étude Masteros. Cette recherche révèle en outre que les hommes et les femmes envisagent ce type d’investissement d’une manière différente. Parmi les femmes interrogées, plus de 61% n’avaient jamais envisagé d’investir dans un bien locatif, contre un peu plus de 52% des hommes. Aussi, pour 82% des femmes (et 79% des hommes), la peur d’éventuels travaux de restauration est un frein au démarrage. 82% d’entre elles (contre 74% des hommes) ont peur de leur louer mnik ne paiera pas. Les obstacles à l’investissement varient également selon l’âge. Pour la tranche d’âge 24-35 ans, l’obstacle le plus important concerne les conditions d’octroi de crédit (47 %), pour les 35-49 ans 35 % et pour les 50-55 ans 31 %. La propension à épargner est plus présente chez les 35-49 ans et les 50-55 ans avec respectivement 33 et 31 %, contre 24 % chez les plus jeunes.Chez les Belges qui souhaitent investir dans l’immobilier locatif, le financement est la principale crainte. mentionnés par ceux qui veulent investir. Pour 54% d’entre eux, l’apport personnel représente un frein à un éventuel investissement. A noter qu’il est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (71% vs 64%), les répondants indiquent que les opportunités trouvées dépassent leur budget. 30% des sondés disposent de moins de 100 000 euros à consacrer à leur projet locatif. En raison du manque de visibilité lié à la guerre en Ukraine et à son impact, la majorité des Belges craignent de ne pas être agréés en crédit (37%). Masteos note également une méconnaissance des habitants sur les rendements locatifs des différentes régions et une certaine prudence à l’idée d’investir en dehors de la région où ils habitent (59%). Ce désir d’investir près de chez eux est un peu plus important chez les femmes que chez les hommes (62% contre 57%). La complexité des démarches d’un investissement locatif apparaît comme l’une des principales raisons (61%) citées par les hommes comme par les femmes pour ne pas vouloir investir. Dans le même temps, un Belge sur deux qui souhaite investir trouve que les démarches pour investir dans le locatif sont trop compliquées et souhaite contrôler ses démarches (75%). Et ceci principalement pour la mise en place d’investissement locatif ainsi que pour la réalisation de travaux de rénovation, ce qui pour Masteos confirme le fait que l’investissement locatif est un véritable frein pour un futur acquéreur. Au moins 250 heures doivent être consacrées à l’acquisition d’un bien immobilier, qui implique plusieurs clients et nécessite la maîtrise de nombreuses expériences techniques. * Etude Poll&Roll pour Masteos, réalisée du 20.04.22 au 25.04.23 auprès de 1000 personnes. 56% néerlandophones, 44% francophones echih. Tranches d’âge : 25-55 ans (46 % 25-39 ans/54 % 40-55 ans). Le panel est composé de 50% d’hommes, 49% de femmes et 1% de non informés. 66 % sont employés à temps plein (83 % sont des professionnels salariés).