Michele Tecchia (Monaco) : « Mon métier, c’est d’apprendre et de tester ! »

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De nos jours, l’expansion de l’ère numérique favorise la création de nouvelles habitudes. Parmi ceux-ci, le « growth hacking » se démarque. Mais à quoi sert cette stratégie marketing ?

Selon Michele Tecchia, cette discipline « équilibre l’art et la science du marketing pour acquérir et fidéliser des utilisateurs/clients en utilisant les données les plus significatives ».

Le jeune consultant connaît bien son métier : il a exercé le métier de « growth hacker » pendant près de dix ans. Mais comment ce professionnel du numérique s’efforce-t-il de révolutionner son secteur ? Un portrait de passionnés dévoués.

Michele Tecchia, le marketing dans la peau dès l’enfance ?

Michèle Tecchia est née le 13 juin 1980 à Monaco. C’est un enfant curieux et déterminé. À l’école primaire, le petit garçon intègre l’équipe de premiers secours de son établissement. Michele et ses camarades de classe participent aux compétitions et il ne faut pas longtemps pour gagner des trophées. Sur le même sujet : Créer ou transmettre une entreprise artisanale : une simple formalité auprès du CMA. Ces victoires éveillent chez le garçon un désir constant de se surpasser. Et ce n’est que le début… Les années passent et l’ambition du jeune adolescent grandit.

Durant ses années lycée, il est intégré à l’équipe de la Croix-Rouge française. Pour lui, cette intégration est une aubaine puisque son équipe participe aux grandes compétitions européennes. Et l’expérience s’avère fructueuse : son groupe atteint le top 10. Soucieux de transmettre sa passion, Tecchia décide de créer un club des jeunes de la Croix-Rouge au cœur de la Principauté.

Pour lui, ouvrir un club est aussi l’occasion de réformer la formation aux premiers secours. Petit à petit, son association grandit et devient l’une des plus importantes du pays.

Cette extension n’est pas un hasard. En effet, Tecchia Michele utilise un outil spécifique pour étendre son réseau : Facebook. Conscient du potentiel numérique, le Monégasque développe une véritable stratégie marketing pour attirer l’attention sur les actions de son organisation. Une vocation est née.

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Les études : du marketing à la communication

À l’époque, le « growth hacking » n’existait pas. Pourtant, Michele Tecchia sait déjà que le marketing l’intéresse. En 2000, il rejoint IDRAC Business School. Pendant cinq ans, il a exploré toutes les stratégies marketing. Il a obtenu son Master en Marketing & Gestion en 2004.

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Après ses études, il choisit d’étudier à Sciences Po Grenoble. Il y acquiert des compétences essentielles pour son avenir. Ceci pourrez vous intéresser : Montbard. Une semaine pour aider les entrepreneurs. Lors d’un entretien, il explique : « Mon temps à l’IEP Grenoble me sert au quotidien, même si je ne travaille pas dans l’administration. En effet, tant que vous travaillez en équipe, vous devez être capable de communiquer de manière claire et professionnelle ».

Après deux ans à Grenoble, il décroche son premier emploi. Il a travaillé pendant près d’un an pour le groupe Expleo, dans le centre de Toulouse. Fondamentalement, il est limité aux voyages de communication. Cette expérience professionnelle le conforte dans ses ambitions. Il déclare : « La communication et le marketing vont de pair.

Ainsi, lorsque je travaillais en tant que communicant chez un sous-traitant d’Airbus, je pensais toujours à mon public cible, à la manière de promouvoir mes interviews et mes histoires, et à ma société de médias. C’est ainsi que je me suis intéressé au côté commercial du contenu, qu’on appelle aujourd’hui le marketing de contenu. »

Par la suite, le jeune homme est devenu « business developer » pour Orange. Puis, deux ans plus tard, il rejoint Ebookers. Chargé de créer des contenus pour attirer les clients, le Monégasque découvre l’expérience du marketing. Pour l’entrepreneur de demain, cette expérience sur le terrain est un véritable déclic.

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Découverte du « growth hacking »

Au sein d’Ebookers, les missions de Tecchia portent essentiellement sur la notion de marketing. Mais quelque chose ne va pas. Voir l’article : Bachelor en Management du Luxe : on vous dit tout !. En effet, Michele Tecchia souligne que ses connaissances en marketing restent relativement limitées. Pour lui, ces lacunes deviennent une source de motivation.

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Alors le jeune homme s’est mis en quête de LA formation. Et sa persévérance a payé : début 2012, Tecchia intègre la Growth Hacking Academy. Basée à Londres, cette institution est pionnière dans ce domaine : c’est la seule institution européenne à proposer ce cursus. La formation est intensive : sur une période de trois mois, Tecchia découvre de nouvelles méthodes de marketing. Et surtout, son réseau évolue sensiblement.

En effet, le jeune homme côtoie analystes métiers, ingénieurs logiciels et designers. Il est impliqué dans de vrais projets de start-up. Pour le futur entrepreneur, cette formation est une révélation totale.

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Un projet à la hauteur de ses ambitions

Désormais qualifié, Tecchia revient à Monaco et décide de monter sa propre structure. En 2016, Michele Tecchia est officiellement devenue entrepreneure. Son entreprise propose des stratégies innovantes pour répondre aux besoins des industries (génération de leads, growth hacking, Google Ads, marketing en ligne, marketing digital, développement commercial, stratégie média, etc.). Pour Tecchia, le message est clair : le « growth hacking » est un terme à la mode pour désigner le nouveau et, à mon avis, la bonne direction dans le marketing en ligne.

La mission principale d’un growth hacker est de mener des expériences pour débloquer des opportunités de croissance basées sur une analyse détaillée des actions et des flux des utilisateurs (les entonnoirs). Bref, ce passionné de voile aide les entreprises à atteindre leurs objectifs commerciaux grâce à des méthodes marketing innovantes. Mais quelles sont les compétences indispensables pour devenir un « growth hacker » ?

Selon Tecchia, un « growth hacker » maîtrise des sujets tels que l’optimisation ou les statistiques. Ce professionnel doit aussi avoir une grande ouverture d’esprit et une grande capacité de réflexion. Pour Michele Tecchia, chaque individu est un innovateur potentiel. Sa devise ? « Apprendre et tester ». Loin des conseils anodins d’un entrepreneur aussi audacieux…

Plus d’informations sur Michèle Tecchia : https://www.michele-tecchia.com/

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