Les jeunes, les grands-mères, comme on les appelle. Séverine Lobjois possède 70 chèvres angora pour produire de la laine de mohair. Il fait partie de l’association d’agriculteurs « Le mohair de notre chèvre » puis il envoie dans des ateliers, des entreprises du patrimoine vivant.
Avec la laine des petites chèvres, qui est très bonne, il a des écharpes, des gants, des chapeaux, des bérets, des pulls ou des pelotes de laine faites pour les tisserands, disponibles en trente couleurs.
Parmi la laine des « mamies », comme le dit Séverine Lobjois, il y a une laine de basse qualité, pour faire des chaussures.