Il y a quelques années, le secteur bancaire a connu une révolution avec l’arrivée de nombreux nouveaux acteurs déterminés à révolutionner l’offre traditionnelle. Ces nouveaux acteurs, appelés néobanques, ont rapidement conquis de nombreux clients attirés par des tarifs plus attractifs et une gestion simplifiée de leurs comptes.
Mais après une augmentation très rapide du nombre de joueurs, le marché s’est consolidé. Si certains clients ont fait les frais de leur inconscience excessive, comme ceux qui ont confié leurs fonds à la startup lilloise Swoon (qui a fait faillite), ou qui ont eu du mal à récupérer leurs fonds (de N26), en définitive, les clients ont adopté ces nouvelles joueurs.
La plupart sont adossées à de grandes banques traditionnelles ou ont été achetées par des acteurs traditionnels, tandis que d’autres se sont retirées. C’est notamment le cas de la banque néerlandaise ING qui s’est récemment retirée après 20 ans de présence sur le marché, ou encore auMax pour moi (filiale du Crédit Mutuel Arkéa) qui va fermer ses services malgré des investissements de 20 millions d’euros pendant 5 ans. .
Après les banques, ce sont les assurances qui risquent de voir cette révolution se produire.
De nouveaux assureurs comme Leocare-assurance veulent révolutionner le secteur
Comme dans le secteur bancaire, le secteur de l’assurance sera contraint d’évoluer. En cause, l’arrivée de nouvelles entreprises de type « start-up » qui depuis plusieurs années investissent massivement dans la levée de fonds pour venir concurrencer les géants du secteur.
L’un d’eux, comme leocare.eu/fr/assurance-auto-en-ligne/, basé à Rennes en Bretagne, vient de lever près de 100 millions d’euros après une première levée de fonds de 15 millions d’euros en début d’année. Son objectif : faciliter la gestion de vos assurances, vous offrir plus de flexibilité et vous permettre de mieux personnaliser votre contrat en fonction de vos besoins.
Contrairement aux assureurs traditionnels, avec les néo-assurances comme leocare, tout se passe en ligne ou depuis le mobile, via une application dédiée. Ainsi, à tout moment, il est possible d’ajouter ou de supprimer des options. Sur le même sujet : Comment la fintech et les insurtechs sont-elles contrôlées ?. En assurance automobile, les formules classiques sont bien entendu identiques les unes aux autres, avec la formule au tiers incluant notamment la responsabilité civile, la formule au tiers+ qui ajoute les garanties vol et incendie, et enfin la formule tout compris risque, qui couvre les dommages liés à l’assureur des sinistres dont il est responsable.
La promesse d’une grande simplicité et des tarifs moins chers en moto, automobile et habitation
En cas d’accident, la gestion est simplifiée. Tout se fait à distance, via visioconférence. Ceci pourrez vous intéresser : La dernière phase de la loi a donné au gouvernement les pleins pouvoirs pour réformer l’assurance-chômage pour le Conseil constitutionnel. Un agent constate alors les dégâts « en direct ». En évitant au maximum la démarche d’un expert, la gestion du dossier est simplifiée pour le client et l’assurance, tout en réduisant les coûts pour proposer des tarifs attractifs. Utilisez simplement un comparateur pour être sûr.
Idem, bien sûr, en assurance habitation pour un dégât des eaux, ou une catastrophe naturelle.
Une cible de clients plutôt jeunes
Au-delà de la simplicité, la promesse de ces néo-assureurs est de faire baisser les prix d’environ 25% dans les contrats d’assurance comme l’auto, la moto ou encore ce qu’on appelle la multirisque, qui couvre le logement et les habitants qui le composent.