Numérique, tourisme, sport… 6 témoignages d’étudiants pré-décidés en Bachelor

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NUMÉRIQUE

Noor Abderrahmani Ghorfi le sait, « le digital est absolument partout ». C’est pourquoi, en connaissance de cause, il poursuit une formation diplômante en développement numérique et commercial à la Grenoble Ecole de Management (GEM). Car pour elle, ce qui différencie le numérique des autres disciplines, c’est plutôt un état d’esprit, comme « s’habituer à faire des projets de A à Z, à résoudre des problèmes du quotidien, etc. « . Sur le campus parisien du GEM, les étudiants de toutes filières se retrouvent, que ce soit dans des salles de coworking ou dans un petit jardin.

« Nous sommes toujours entourés de profils différents », en est-elle convaincue, qui n’a pas voulu « s’enfermer dans un domaine trop spécifique » et a opté pour ce parcours assez transversal. « Je m’occupe du marketing, du management, des ressources humaines et même du développement personnel. Lire aussi : Petit-déjeuner de développement commercial / BGE et Initiative Seine Yvelines. À la fin du programme, je pourrai intégrer de nombreux masters différents », se réjouit-elle.

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BANQUE

Zahrédine Abassi, « jeune étudiant de 38 ans », vient d’intégrer l’ESBanque en tant que BBO (Bachelor in Multi-Channel Banking). « J’ai commencé par un BEP dans la vente, que j’ai parfaitement acquis il y a vingt ans », plaisante celui qui a longtemps travaillé pour le groupe énergétique « comme responsable logistique dans des dizaines de pays ». Entrepreneur, principalement dans l’hôtellerie, ce jeune père de famille basé à Pau s’est tourné vers la banque : « Chaque fois que je lance un projet, ce ne serait pas possible sans une banque. C’est un maillon essentiel de nos vies », affirme Zahrédine Abassi. Il a suivi ce cursus en alternance à la Banque Courtois, filiale du Crédit du Nord. Au bout d’un an, il aura un diplôme et un certificat qui lui permettront d’être enfin « ce banquier que j’aimerais rencontrer ».

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TOURISME

Tessa Vaz Baia a choisi le secteur alors qu’elle était encore au Terminal. « J’ai hésité, c’est sûr, mais j’ai participé à une journée d’immersion qui m’a décidée », se souvient la jeune fille, aujourd’hui en 1ère année de licence à l’école de tourisme de Troyes. Sur le même sujet : Le portage salarial est-il une bonne idée ?. Pour elle, ce secteur, c’est déjà « beaucoup de métiers différents et surtout la possibilité de travailler à l’étranger, d’apprendre des langues, de côtoyer toutes les cultures ». Dans cette institution du groupe des Écoles Y, on apprend à peu près les mêmes matières qu’un cours général de commerce, « mais chacun à travers le prisme du tourisme, enseigné par des experts ». Le premier réseau de cette native de Nancy va continuer à s’étendre partout où elle ira, à commencer par le Mexique l’année prochaine. Et puis? « Après on verra, le monde est grand et je n’ai pas encore choisi ma spécialité. Ce sera l’œnologie ou la valorisation des produits touristiques », se dit-il en réfléchissant.

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NOUVELLES TECHNOLOGIES

Maya Olanier apprécie cet « îlot du business dans le monde des ingénieurs ». C’est ainsi qu’il décrit son école, IMT BS, école de commerce et de management membre du groupe Institut Mines-Télécom. Il est en 2ème année de licence de Management et nouvelles technologies.

Pour elle, cette friction constante entre les mondes fait la richesse de son sujet : « Nous partageons le même réseau d’anciens élèves, gérons ensemble des associations et travaillons sur des projets communs », détaille-t-elle. Sur le même sujet : Dirigeants et entrepreneurs : L’EDC Business School lance un Executive Bachelor in Management. Son idée est de travailler dans le conseil stratégique.

Un métier dans lequel, comme elle le sait, « il faudra tenir compte de dimensions techniques, pour lesquelles la connaissance des deux langues me sera très précieuse », en est-elle convaincue. Dès sa 1ère année de pratique, elle s’est retrouvée dans une équipe à forte proportion d’ingénieurs. « Je me suis senti chez moi ! » il sourit. C’est tout l’intérêt de son diplôme.

HÔTELLERIE

Salomée Cardon le savait : « Je voulais travailler dans l’hôtellerie. La question était : à 17 ans ou plus tard ? Il est aujourd’hui en 3ème année d’études supérieures en hôtellerie et restauration à Ferrandi à Paris.

Au moment de la sélection, il s’entretient avec des experts du secteur. « Tout le monde me disait la même chose, que les meilleurs profils sont ceux qui entrent tout de suite dans le bain », se souvient le futur diplômé. A travers le cadre « terrain » et la multiplication des expériences sont les atouts de son cursus : « On se rend compte que l’hôtellerie est un vrai lieu dans la ville, avec une centaine de métiers différents », explique celle qui privilégierait le conseil. , dans le monde de l’hôtellerie qui a tant besoin de talents. « Et si vous souhaitez conseiller un groupe hôtelier, vous avez tout intérêt à connaître chaque métier sur le bout des doigts », précise-t-il. D’où sa recommandation aux lycéens qui hésitent : « Pour faciliter votre décision, allez travailler dans un hôtel ou un restaurant. Même en tant que petit palmier, vous sentirez rapidement si cet univers a été créé pour vous.

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SPORT

Antoine Soave « a passé cinq ans à la caserne, aux pompiers puis aux CRS, où il a effectué de nombreuses missions dans différentes régions ». Mais il se rend compte que la sécurité n’est pas sa passion.

« Je cherchais un autre domaine où l’on retrouve le même esprit de famille et d’équipe qui est très important pour moi », dit-il. Ce fanatique du demi-fond, des marathons, du golf et des sports américains voit dans le diplôme Sports Management School un moyen d’épanouissement, « dans un domaine qui me passionne vraiment, car il faut de la passion pour réussir ».

Qu’est-ce qu’il aime dans les textos ? « On commence par le point de départ, avec la vente d’équipements sportifs, puis on découvre petit à petit le vaste monde de ce secteur », se réjouit-il. Il s’intéresse particulièrement à la dimension médiatique et s’est peut-être concentré sur son futur métier : « Gestionnaire de talents, c’est-à-dire mettre en relation des personnalités sportives avec de grandes marques », explique-t-il. Il a également lancé sa propre entreprise d’influence en attendant son master.