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Représentante du Parti animaliste au Conseil de Paris, Douchka Markovic a affublé ces « nuisibles » d’un nouveau patronyme, avant de les défendre avec véhémence.

Autant d’années que la Ville de Paris lutte avec acharnement contre la prolifération des souris dans les rues. Campagnes publicitaires pour la dératisation, les moyens de contrôle mécaniques et chimiques… Malgré ces opérations massives à répétition, la capitale n’arrive pas à maîtriser durablement les populations de rongeurs. Voir l’article : Gymnase et piscine au menu du conseil. Une nouvelle fois, ce dossier sensible a été remis sur la table vendredi 8 juillet, lors d’un nouveau Conseil de Paris. Cette fois, les petits mammifères ont trouvé un allié en la personne de Douchka Markovic, note Le Parisien. Interrogée sur « la montée des souris sur la voie publique », cette conseillère parisienne élue sous la bannière du Parti animaliste les a défendues avec ferveur, préférant « appeler les souris brunes », terme qu’elle juge « moins négatif ». « .
Le délégué auprès du maire du 18e arrondissement, en charge de la protection animale, poursuit son discours en précisant que « les actions menées jusqu’à présent ne fonctionnent pas et coûtent très cher ». Selon elle, la Ville de Paris devrait plutôt profiter de la présence de ces assassins, « nos auxiliaires de contrôle des déchets ». « Un premier bilan est déjà en cours pour constater le rôle joué chaque jour par les souris norvégiennes dans les égouts avec l’évacuation de plusieurs centaines de tonnes de déchets et le débouchage des canalisations », explique Douchka Markovic confiant, malgré quelques huées dans l’assistance.
Conseil de Paris. Un élu de l’opposition (@Paul_Hatte) s’alarme de la prolifération des souris dans les logements sociaux. Encore une fois, nous ne devrions pas dire « rat », avec une connotation négative, mais « rat d’herbe ». Et il faut « boucher les trous » pour éviter qu’ils ne descendent dans les égouts pic.twitter.com/AJHJUJe1xt
Une prise de parole « lunaire »
Douchka Markovic a conclu son discours par un appel en faveur de la cohabitation avec les rats et a soutenu la mise en place de nouvelles initiatives concernant la police de la ville. « Il faut changer de paradigme, il faut se poser de nouvelles méthodes efficaces et non létales. A voir aussi : Vente immobilière : faut-il faire appel à un courtier ou vendre seul ?. Il faut se questionner sur les souris norvégiennes et leur mode de vie, mieux se connaître pour trouver des méthodes efficaces et éthiques », a-t-il dit.
Présent dans la salle d’audience, le conseiller de l’opposition Paul Hatte a qualifié l’intervention de « lunaire ». Sur les réseaux sociaux, la séquence a été moquée par de nombreux internautes, alors que d’autres ont déjà adopté le nom de « surmulot ». Un passage pas si raté ?
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A lire maintenant : Pas « rat », « rat du nord » : le discours comique d’un conseil de Paris
Quelles sont les conséquences de la surexploitation ?
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Quelles sont les solutions de la surexploitation ?
En effet, l’exploitation intensive des ressources de la Terre est l’un des 5 facteurs d’érosion de la biodiversité avec la fragmentation des habitats, le changement climatique, la contamination et l’introduction d’espèces invasives.
Quelles sont les conséquences de la surexploitation des ressources forestières ?
Quelles sont les causes de la surexploitation ? Exploitation minière à grande échelle. Abattage aveugle d’arbres causé par la déforestation. La surpêche ou la surpêche qui ravage les fonds marins et détruit habitats et espèces. Extraction d’immenses quantités de combustibles fossiles tels que le pétrole, le gaz naturel et le charbon.
Quels sont les conséquences de la pêche ?
Encourager les pratiques qui réduisent la pression sur les écosystèmes halieutiques, comme l’aquaculture : En parallèle, nous appelons le G20 à soutenir la pêche durable, la restauration des écosystèmes marins, voire l’aquaculture durable, outil clé pour lutter contre la surexploitation des ressources halieutiques.
L’épuisement des ressources forestières a des conséquences catastrophiques telles que la dégradation des terres, et surtout la désertification qui progresse au rythme de 5 à 10 millions d’hectares par an dans le monde. Ces problèmes majeurs comprennent les dommages causés par les tempêtes et les incendies de forêt.
Quel est l’impact de la pêche sur l’environnement ?
Les activités de pêche ont des effets directs sur les écosystèmes marins, en effet elles sont responsables d’une augmentation de la mortalité des espèces ciblées et non ciblées (également appelées espèces non commerciales ou prises accessoires).
Quelles sont les causes de la pêche ?
Quelles sont les conséquences de la pêche illégale ? Outre la destruction de l’écosystème et la surexploitation des stocks, ce déséquilibre entraîne une perte d’emplois, de ressources financières et alimentaires pour les pêcheurs qui respectent la législation, notamment pour ceux des pays en voie de développement.
Quelles sont les ressources Oceaniques ?

La surpêche a des conséquences écologiques dramatiques : « L’extinction écologique causée par la surpêche l’emporte sur toute autre perturbation anthropique généralisée de l’écosystème côtier, y compris la pollution, la dégradation de la qualité de l’eau et le changement climatique anthropique (Jackson, 2001).
Selon la FAO, 58% des stocks de poissons sont exploités au maximum. Les causes de la surpêche sont multiples. La consommation de produits de la mer augmente et alimente le commerce mondial. En général, le nombre de chalutiers est deux fois et demie ce qui serait supportable.
Quel sont les ressources des océans ?
Les océans couvrent 70% de la surface de la Terre, hébergeant une grande variété de processus géologiques responsables de la formation et de la concentration des ressources minérales. Parmi les ressources majoritairement extraites du milieu marin aujourd’hui, le sel, le potassium et le magnésium arrivent en tête.
Quelle est l’importance des ressources maritimes ?
Quelles sont les ressources maritimes ? Les ressources vivantes de l’océan sont constituées, entre autres, d’espèces de poissons, de mollusques, de crustacés et d’algues que l’homme peut consommer ou utiliser comme ornements dans les aquariums. Ils peuvent être utilisés pour nourrir directement les humains, grâce à la pêche.
Quelles sont les principales ressources des espaces maritimes ?
Les océans couvrent les deux tiers de la surface terrestre (environ 70 %) et contiennent de nombreuses ressources artificielles : Les ressources minérales et d’hydrocarbures, malgré la difficulté d’exploitation, sont nombreuses : gaz, pétrole, sel, sable, minéraux, etc. .
Quelles sont les ressources halieutiques ?
Importance des ressources marines – Les zones marines regorgent de ressources en matières premières (énergétiques et minières). Sous-sols d’hydrocarbures marins. Quant aux réserves, on parle de 25% de pétrole et 34% de gaz. – Il fournit désormais 30% de la production de pétrole et 27% de la production de gaz.
Énergie, sable, minéraux et eau de mer : des ressources maritimes stratégiques. â – º Les hydrocarbures représentent la plus grande part des ressources énergétiques marines.
Pourquoi le thon est une ressource halieutique ?
Ressource halieutique : qu’est-ce que c’est ? Ressources vivantes (animaux et végétaux) des milieux aquatiques marins ou d’eau douce (eau douce) exploitées par l’homme (pêche, aquaculture).
C’est quoi les ressources halieutiques ?
Quelles sont les ressources halieutiques mondiales ? Le thon rouge et les espèces apparentées sont les principales ressources halieutiques exploitées en haute mer. La plus forte production est enregistrée dans l’océan Pacifique puis, au loin, dans l’océan Atlantique et l’océan Indien.
Quelles sont les causes des ressources halieutiques ?
Situé au sommet de la chaîne alimentaire, le thon rouge de l’Atlantique n’a pas de prédateurs naturels dans l’océan, à l’exception de l’épaulard. C’est un « superprédateur » qui occupe une place fondamentale dans le réseau trophique océanique et contribue ainsi à la stabilité de l’écosystème.