Le sinistre a été causé par la grève menée par les bagagistes de l’aéroport de Roissy. Les chiffres font état de milliers d’effets personnels qui ne pourront être restitués à leurs propriétaires qu’en septembre 2022. Le groupement organisé pour les opérations de l’aérogare parisienne a identifié un événement catastrophique.
Les milliers de voyageurs qui ont transité par l’aéroport de Roissy ont dû faire preuve d’une réelle patience. De plus, certains des bagages perdus n’ont pas encore été retrouvés par leurs propriétaires alors qu’ils ont disparu en juillet. L’incident fait suite à une grève des travailleurs de l’aéroport. Résultat : les bagages ne sont pas correctement manipulés. Ensuite, il était difficile d’identifier les propriétaires lors de la redistribution. Le président du groupe ADP sait que la tâche est difficile. C’est pourquoi la livraison des effets personnels prend beaucoup de temps.
Les activités d’avant l’épidémie enfin retrouvées
Pourtant, les mois de vacances se sont bien passés dans les aéroports parisiens. Certes, le trafic a sensiblement augmenté, mais le service a été assez fluide, selon le président d’ADP. En termes d’activité, ils commencent à correspondre aux niveaux d’avant COVID-19. Ils ont gagné l’affaire de l’aéroport d’Orly. Ceci pourrez vous intéresser : Voyage sur mesure : conseils et idées pour une escapade en toute sécurité…. L’aéroport de Roissy était à 80% de ses opérations avant la crise sanitaire. Cette dernière devrait y parvenir d’ici 2024 selon les estimations d’Augustin de Romanet, PDG d’ADP. La différence s’explique par le maintien des restrictions sanitaires dans les pays asiatiques. A l’aéroport d’Antalya en Turquie, les touristes britanniques et allemands remplacent les touristes russes.
Augustin de Romanet rappelle que les aéroports parisiens ont fait preuve d’efficacité par rapport aux autres grands ports. Cela comprend des bâtiments à Londres (Londres), aux Pays-Bas (Amsterdam) et en Allemagne (Francfort). Cette activité semble être bouleversée par ce qui s’est passé le 1er juillet 2022. Cet incident nous rappelle également l’importance de toujours prendre une assurance voyage pouvant apporter une indemnisation dans de telles situations.
Des bagages sans étiquettes
Les travailleurs affiliés au groupe ADP ont choisi la date du 1er juillet 2022 pour mener leur grève. Pour rappel, la gestion d’une partie des opérations de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle a été confiée à ce modèle. Ceci pourrez vous intéresser : La conférence de presse de Miss France 2023 s’effondre : « Oui, tu m’as vexé ». Après les actions organisées par les ouvriers, le tri des sacs a été suspendu pendant 3 heures. Cependant, c’est à eux de mener à bien cette tâche.
La situation a fait que près de 35 000 sacs n’ont pas été rendus à leurs propriétaires. Ils ont perdu leur marque en raison de la perturbation des activités de tri des bagages. Il est difficile dans ce cas d’identifier les personnes à qui chacune d’entre elles doit être renvoyée.
Face à la complexité de la tâche, des milliers d’effets personnels n’étaient toujours pas restitués début septembre. Le PDG du Groupe ADP a présenté ses excuses aux passagers touchés par cet incident. Il veille à ce que l’identification et la récupération des bagages se poursuivent.