« Puff mods », l’agacement des commerçants monte

Written By Sara Rosso

Rédactrice passionnée depuis plus de de 15 ans. Sara vous trouve les dernières infos

Face aux bouffées, la nouvelle vague d’e-cigarettes jetables, deux attitudes se reflètent dans la communauté des vapoteurs : un suiveur relativement passif et un rejet exaspéré. Comme l’enseigne Ô Mon Vapo, qui à travers un billet de blog explique et dénonce les points problématiques, et ils sont nombreux. Entrevue.

Ça puffit comme ça

Ça puffit comme ça

« Non, non, non, non, non et non. » Il y a six « non » comme autant de points soulevés dans l’article de blog à travers lequel la marque Ô Mon Vapo explique, arguments à l’appui, pourquoi elle ne vendra pas de choux à la crème. Voir l’article : Interview de Yung Miami et Diddy « Caresha Please »: Faits saillants. Ces bouffées sont devenues le nom générique des e-cigarettes jetables qui offrent 300 à 600 bouffées à l’utilisateur avant qu’elles ne soient bonnes à jeter à la poubelle, car elles ne peuvent pas être rechargées.

Et le signe ne va pas de pair : tout y passe. L’écologie de ces systèmes ? Une calamité. Leur prix ? Une aberration. Leur commercialisation ? Un danger. Dérive? Ils sont réels. Politiquement? Un cauchemar. Ethique et bon sens ? Sur le bûcher.

Le tout rigoureusement argumenté, d’origine, avec des exemples concrets à l’appui. Une démonstration impitoyable, qui, au final, débouche sur deux questions : pourquoi les (rares) boutiques proposant des choux à la crème n’y ont pas pensé, et qu’est-ce qui a motivé ses auteurs à fournir ce travail de titan qui a dû leur rapporter une quantité considérable. temps?

Le plus simple est de poser la question aux intéressés, Audrey Le Fur, directrice d’Ô Mon Vapo, et Valentin Biscarlet, gérant du magasin, qui ont co-écrit l’article.

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Une bonne idée ? Je puffe

Une bonne idée ? Je puffe

Tout a commencé par le contact avec un collègue : « Il nous a demandé si nous avions des demandes de choux à la crème, expliquent les responsables d’Ô Mon Vapo. C’est vrai qu’on a eu des demandes deux ou trois fois, à l’adolescence, mais rien de significatif. Sur le même sujet : Le franchiseur Natilia fête la construction de sa 4000e maison. » Cependant, la question nous rappelle : « Comme nous sommes des gens curieux et agaçants, nous avons commencé à creuser et nous nous sommes rendu compte de l’ampleur de la chose. « 

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En effet, les choux à la crème, présentés avant tout comme d’une certaine marque (probablement contrefaite), pullulent sur les réseaux sociaux destinés aux jeunes, TikTok et Instagram en premier lieu.

« Toute l’équipe a commencé à travailler sur le sujet. Et nous avons pu identifier un double problème avec ces bouffées spécifiques. La première est qu’un marketing très agressif s’adresse aux jeunes, en particulier aux mineurs. Et deuxièmement, ce sont des produits d’origine douteuse, avec des taux de nicotine totalement illégaux, comme 50mg/ml. « 

Et le problème va au-delà du trafic spécifique de ces produits. « Plus que la dénonciation de ces produits, ce qui nous pose problème, c’est la clameur que cela implique. Jusqu’à présent, nous avons eu peu de demandes dans les magasins jetables, mais elles provenaient toutes du même public, des adolescents mineurs. « 

Même constat : « les personnes qui font la promotion sur ces réseaux sociaux sont des professionnels. Tout est consolidé, ce sont évidemment des habitués, les réseaux, qui ont les couilles. Pour être allé voir le phénomène sur les réseaux, le sien confirme bien : ce sont des méthodes éprouvées, habituelles pour les trafiquants de drogue… ou pour l’industrie du tabac.

Belvèze. Sous-officier visiteur et président du conseil départemental
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Vouuuuus ne pufferez pas !

Audrey Le Fur et Valentin Biscarlet soulignent que « nous ne sommes pas contents d’être dans la plainte, mais tout cela semble très préjudiciable au secteur du vapotage en général. Elle va complètement à l’encontre de la façon de travailler, du goût du bien-être, de la personnalisation selon le profil du fumeur, des ajustements et surtout, surtout, de la défense des systèmes ouverts et du libre choix du consommateur. Sans compter que, si l’achat peut sembler moins cher qu’un kit vape, à la longue les coûts explosent. Dans leur article, une comparaison entre le prix au millilitre avec des bouffées d’une part et un kit ouvert amorti toute l’année d’autre part ne laisse aucun doute.

Audrey raconte que sa compagne est allée faire un petit tour chez Gifi : « Elle m’a envoyé une magnifique photo de choux à la crème jetables offerts à la caisse du magasin. Eh bien, il y avait un panneau indiquant que la vente est interdite aux mineurs et lui-même n’a pas eu l’occasion de voir ce qui se passe lorsque cela se produit. Lire aussi : Cette maison des stars d’internet a plus de 500 ans. Mais sur un groupe, on a vu un commentaire de quelqu’un qui dit avoir vu, dans cette pancarte, deux jeunes hommes qui ressemblaient à des mineurs en acheter une sans que la caissière vérifie leur âge. « 

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Sur TikTok, on trouve un peu de tout, comme ce court clip de rap qui incite à acheter un tube chez Gifi plutôt qu’en vapoteuse : « c’est la même qualité, c’est le prix en bas ». Un régal pour les détracteurs de la vape.

Le phénomène a encore plus inquiété. Vaporium agit également contre les bouffées jetables et Fivape a réalisé un visuel pour mettre en garde contre les bouffées illégales.

Il faut aussi noter qu’au Canada, ceux-ci représentent désormais 80% des ventes des magasins selon les observateurs. Ils ont presque terminé l’achèvement de l’industrie déjà en difficulté, et rappelez-vous que les systèmes propriétaires fermés sont exactement ce contre quoi la profession s’est battue lorsqu’elle a adopté la dernière TPD.

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Comment acheter des cigarettes mineures ?

Comment acheter des cigarettes mineures ?

Les « jeunes » de moins de 18 ans n’interdisent pas de fumer ou de vapoter. Ce qui est interdit, c’est de vendre. Il est impossible (normalement) d’acheter un paquet de cigarettes dans un bureau de tabac si la personne est mineure. Également interdit pour les produits de vapotage.

Où acheter des cigarettes à 15 ans ? Bureaux de tabac illégaux 94 % des garçons entre 16 et 17 ans achèteraient des cigarettes au bureau de tabac. Ils seraient également jusqu’à 72% dans la tranche d’âge 12-15 ans, la tranche la plus jeune étudiée ici.

Quel est l’âge pour fumer ?

Quel est l’âge légal pour fumer avec une e-cigarette ? La loi interdit la vente de produits de vapotage et de cigarettes électroniques aux mineurs de moins de 18 ans.

Où se vende les puff ?

Où se vende les puff ?

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