Trouver une entreprise à reprendre est un processus qui implique nécessairement des investissements personnels et psychologiques importants ; est un projet de vie future, parfois d’accomplissement professionnel et personnel.
La grande quantité de données impliquées et l’imprévisibilité des réactions des différents acteurs impliqués dans le processus obligent l’acheteur à se préparer à des émotions fortes. Vous pouvez avoir un moral d’acier, une résistance à toute épreuve. Cependant, considérer l’improbable ne peut être qu’utile, car certaines situations sont parfois à la limite de l’absurde.
Il n’est donc pas impossible d’exclure du dossier à cause d’un intermédiaire incompétent : il se présente souvent comme un conseiller du vendeur, et s’il lui fait confiance sans se rendre compte de son incompétence, il se pliera à sa notification. Toute personne qui doit promouvoir la vente de l’entreprise de son client peut ainsi devenir un briseur d’entente, entraînant l’échec de l’entente.
Le nécessaire travail de séduction
De la même manière, le vendeur voit évidemment les choses de son point de vue, ce qui peut parfois sembler tout à fait illogique à un candidat à la reprise. A voir aussi : Les Sables-d’Olonne Vendée. Le projet sportif ARENA a pris du retard ! | Le reporter de sable. Cependant, il devra faire face à sa frustration s’il veut avoir la chance de commenter la question.
Sauf dans les secteurs à faible activité concurrentielle, et même si le vendeur est contraint de vendre, un candidat à la reprise devra accomplir la tâche de séduction auprès de la majorité de ses interlocuteurs qui peuvent soit faciliter, soit entraver l’accès aux disponibles. Entreprise. Avec le vendeur qui fait le choix final, avec l’intermédiaire dans la transmission d’entreprise : jusqu’à ce que vous rencontriez le vendeur, il sera votre seul interlocuteur – et donc le seul au courant de votre existence. Il peut vous virer à tout moment. Avec le banquier pour qu’il colle au projet et au profil du cédant, mais aussi aux salariés. La plupart des vendeurs attachent une grande importance au bien-être de leurs employés. Certains les engagent bien avant que la décision de transfert ne soit prise. Leur avis sera alors largement pris en compte par le cédant.
Créer des relations de confiance
Une fois la phase de séduction réussie, un climat de confiance doit être créé entre les différents acteurs. Une fois le prix convenu – point de négociation généralement important – le processus menant à la signature du protocole de remise est long et semé d’embûches. A voir aussi : Plombiers Montpellier – Dépannage plomberie d’urgence 24h/24. Des points de friction apparaissent quasi systématiquement, ce qui peut provoquer des affrontements fragilisant la relation entre le vendeur et le candidat à la reprise.
Parfois, avant de signer la lettre d’intention, les deux parties sont tentées de se regarder avec méfiance : le vendeur estime qu’il ne peut divulguer certaines informations en l’absence de
Lettre d’intention
signé; l’acheteur, de son côté, nous assure que sans ces informations, il lui est difficile de se positionner.
Comme dans de nombreuses situations, les deux parties doivent faire preuve d’empathie afin de comprendre leurs arguments et avoir une chance de faire des compromis. Les conseillers – courtier et/ou avocat – remplissent généralement ces fonctions. Néanmoins, c’est le climat de confiance qui s’est précédemment instauré entre les deux parties qui permettra de surmonter ces écueils.