Obtenir un financement pour leur projet immobilier est devenu de plus en plus complexe pour les Français depuis le début de l’année. Une enquête réalisée par les 6 associations professionnelles d’intermédiaires en crédit (IOBSP) montre ainsi une forte augmentation des refus de crédit. 85% des sondés déplorent un taux de rebond supérieur à 20% et ce taux monte à 40% pour 4 intermédiaires sur 10.
Le taux d’usure et les normes du HCSF, principaux obstacles à l’accès au crédit
Deux freins principaux sont identifiés dans près de 70% des demandes de crédit logement rejetées : Voir l’article : Quand la nature redonne ses droits à l’activité humaine – Toute l’actualité gratuite en un clic.
Comme pour les nouvelles souscriptions, l’activité de rachat de crédit elle-même est affectée par la restriction du taux d’attrition. Nous vous rappelons que le « taux d’attrition » fait référence à la limite maximale que les banques et sociétés de crédit ne peuvent pas dépasser lors de la définition du taux annuel applicable à un prêt.
Autrement dit, le TAEG ne peut pas dépasser ce maximum légal. Le non-respect de cette règle expose l’établissement fautif au paiement d’une amende de 300 000 euros assortie d’une peine d’emprisonnement de deux ans.
Nos solutions face à l’usure
Cependant, nous restons en permanence vigilants pour trouver des solutions alternatives aux problèmes actuels. Lire aussi : Le Japon va bientôt tester un mini ascenseur spatial. Ainsi, nous vous proposons des alternatives pour financer certains profils actuellement bloqués :