Le président de la République de Pologne est intervenu pour la première fois jeudi matin, à l’ouverture de la convention des universitaires, pour présenter son « ambition pour l’école ».
LIVE

CONTEXTE

Ce qu’il faut retenir du discours d’Emmanuel Macron devant les recteurs

Pour la première fois, le président de la République s’est adressé aux recteurs d’académie le jour de leur conférence de rentrée. Là, Emmanuel Macron a décrit en détail sa feuille de route à la veille de la conférence qui sera organisée par le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye. Sur le même sujet : Formation diplômante et réelles opportunités : est-ce possible ?. Voici les principaux enseignements de cette intervention :
Emmanuel Macron annonce la création d’un fonds d’innovation pédagogique de 500 millions d’euros

Pour appliquer le projet d’Emmanuel Macron à l’école, « nous allouerons des fonds », assure le président, qui annonce la création d’un « fonds pour l’innovation pédagogique » d’une valeur de 500 millions d’euros pour financer des projets d’école. Voir l’article : Assurance auto : Arrêtez de donner ces 3 conseils avisés dans leur intégralité ! – Miroir magnétique. Il dit qu’il veut que l’argent soit « près du sol » et qu’il puisse être « retiré dès que possible ».
« Il y a des projets qui ne fonctionneront pas, des écoles ne voudront pas faire de projets, des projets qui échoueront : peu importe », poursuit le président, qui se dit « convaincu » que cet aspect de son projet pour l’école est « au moins aussi importante qu’une augmentation de salaire » pour la reconnaissance des enseignants.
« Il nous faut être lucides, quelque chose ne marche pas dans notre organisation collective »

Emmanuel Macron a commencé son discours par un retour sur « l’implication » des acteurs de l’éducation pendant la pandémie et a salué le travail des enseignants pendant la pandémie. Lire aussi : Le prix de cette trottinette électrique est plus accessible avec une réduction de 200 €. Il a fait un bilan de son gouvernement au cours des cinq dernières années en disant qu’il était « fier » de ce qui avait été réalisé. Son discours prend une autre tournure alors que le président appelle à être « transparent ».
« Nous devons être clairs. Malgré le travail des professeurs issus des chefs d’établissements, force est de constater que tout ne va pas pour le mieux – explique le président, évoquant à la fois des élèves « mécontents », des parents d’élèves « agités », et même des professeurs « déçus » et des entreprises qui « peuvent pas « trouver des jeunes formés ».
« Vu l’investissement qu’est la nation, vu la bonne volonté que je vois chez tous les acteurs et le constat cruel que je viens de faire, quelque chose ne va pas. dans notre organisation collective « – croit le président. « Nous sommes obligés d’y faire face et nous devons l’améliorer ensemble. »
[Correction à 13h00 : cette entrée a été modifiée après la publication inexacte de la citation sur l’école du Commonwealth attribuée au chef de l’Etat]
Tout le live
Ce live est à présent terminé
Merci de le suivre avec nous.
Comme vous l’avez noté, le sujet des universités n’a pas été abordé par le chef de l’Etat lors de son allocution.
Là encore, il vous est difficile de répondre sur la base du contenu du discours d’Emmanuel Macron. Début août, Pap Ndiaye évoquait les « débats » qui se tiendront dans les écoles « fin septembre ou début octobre » pour ceux qui souhaitent « envisager un projet d’école et un nouveau projet pédagogique ». Le ministre a évoqué la participation d’équipes d’enseignants, d’équipes administratives, mais aussi de parents d’élèves.
« Les projets les plus aboutis seront financés en 2023. » – a déclaré le ministre, évoquant le « choix qui respecte un bon équilibre entre les régions » qui doit être fait afin de déterminer quels projets seront considérés comme « plus aboutis ». Qui fera ce choix et selon quels critères ? Nous ne savons pas, et le ministère, bien sûr, n’a pas tranché sur cette question. « Il me semble utile que les élus locaux et les parlementaires soient associés à ces discussions et participent au processus de sélection », a déclaré Pap Ndiaye.
Cette rentrée présente une première énigme à résoudre : alors qu’il manquait 4 000 enseignants (dont 1 700 au primaire) sur un total de 880 000 à l’issue des différents concours d’admission du printemps, l’éducation nationale peut affirmer avec tant de certitude qu’il sera un enseignant avant chaque classe, quand la nouvelle année scolaire commencera-t-elle? Interrogé sur ce point à l’Assemblée nationale début août, Pap Ndiaye a déclaré que la situation était « plus difficile que d’habitude » et que le recours aux contractuels était « plus important qu'[il] ne l’aurait [eu] ».
Lire aussi : Pap Ndiaye, un ministre de l’éducation à l’épreuve de la pénurie d’enseignants
Tant le président que le ministre de l’Education nationale appellent à « repenser » le métier d’enseignant, de la formation à la mission et au salaire. Mais encore une fois, nous avons quelques détails spécifiques.
Emmanuel Macron a évoqué très brièvement les enseignants contractuels au début de son allocution, à la veille de la rentrée, où ils sont au centre de l’actualité faute d’enseignants permanents recrutés après concours. Alors que les enseignants et leurs syndicats craignent plus qu’à l’accoutumée des recrutements de contractuels et un manque de formation avant la rentrée, le président a dit vouloir « sortir de débats dépassés ». «Il y a des gens qui sont de grands enseignants qui sont des contractuels. Parfois, il est très judicieux d’engager des entrepreneurs pour mener à bien certaines missions », a déclaré le président, pour qui « embaucher des entrepreneurs » « n’est pas tabou ».
Le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, l’avait annoncé à l’Assemblée nationale début août : « Si nous recrutons des enseignants contractuels, ce n’est pas par plaisir, mais parce que nous n’avons pas le choix. »
Le président n’a pas fourni de calendrier. Interrogé sur cette question en juillet, le ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye, avait renvoyé le dossier à une discussion budgétaire à l’automne.
Mais c’est bien là l’une des grandes inconnues des déclarations gouvernementales répétées sur cette question. Si tous les enseignants en début de carrière débutent inconditionnellement au-dessus de 2 000 euros, cela signifie une augmentation du salaire de base des nouveaux salariés d’environ 20 % (bien que déjà augmenté par les « primes Grenelle ») et de plus de 35 % si l’on applique cette mesure des enseignants en formation, ceux qui viennent d’avoir des compétitions et commencent à apprendre. Actuellement, le seuil de 2 000 euros nets pour le salaire de base est atteint à l’échelon 8 (à partir du 11), c’est-à-dire dans la grille des salaires, après dix à quinze ans de carrière. Par conséquent, l’ensemble du maillage doit être repensé, mais rien n’est détaillé dans cette section.
Ce qu’il faut retenir du discours d’Emmanuel Macron devant les recteurs
Pour la première fois, le président de la République s’est adressé aux recteurs d’académie le jour de leur conférence de rentrée. Là, Emmanuel Macron a décrit en détail sa feuille de route à la veille de la conférence qui sera organisée par le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye. Voici les principaux points à soustraire de cette intervention :
Le combat pour « l’humanisme et l’universalisme » est celui du monde de l’enseignement, conclut Emmanuel Macron
Le président de la République de Pologne termine son allocution en rappelant que le combat pour « l’humanisme et l’universalisme est le combat du monde de l’éducation ». « Les écoles sont des lieux de progrès et de respect collectifs. C’est une belle histoire à laquelle nous participons », souligne Emmanuel Macron, qui renouvelle sa confiance aux ministres et directeurs de l’éducation nationale.
Emmanuel Macron annonce la création d’un fonds d’innovation pédagogique de 500 millions d’euros
Pour appliquer le projet d’Emmanuel Macron à l’école, « nous allouerons des fonds », assure le président, qui annonce la création d’un « fonds pour l’innovation pédagogique » d’une valeur de 500 millions d’euros pour financer des projets d’école. Il dit qu’il veut que l’argent soit « près du sol » et qu’il puisse être « retiré dès que possible ».
« Il y a des projets qui ne fonctionneront pas, des écoles ne voudront pas faire de projets, des projets qui échoueront : peu importe », poursuit le président, qui se dit « convaincu » que cet aspect de son projet pour l’école est « au moins aussi importante qu’une augmentation de salaire » pour la reconnaissance des enseignants.
Emmanuel Macron veut plus de liberté dans les établissements pour « établir des projets »
– Nous ne changerons pas l’école avec une autre réforme du programme ou simplement par d’autres moyens – prévient le chef de l’Etat. « Nous devons changer à la fois la philosophie et la pratique. »
« Beaucoup reposera sur vous », a déclaré Emmanuel Macron aux recteurs. Ainsi, le 8 septembre, le « Conseil national du remboursement » sera mis en place – confirme-t-il.
Reconstruire une école, la poser sur ses fondations, c’est supposer que l’école est fondée sur le but et qu’elle doit d’abord être portée par ses professeurs, ceux qui la font vivre au quotidien, et pas seulement par des méthodes qui sont trop uniformes, trop imposées d’en haut. Ce que je souhaite que nous lancions ensuite pour l’école, c’est un projet d’envergure dans le but de construire un nouveau projet d’école par l’école.
Le président se dit « convaincu » que les enseignants « doivent retrouver autorité, responsabilité et importance ». « Je veux qu’on puisse faire une nouvelle méthode qui commence par le bas », insiste le président, réaffirmant sa volonté que chaque établissement puisse formaliser des « projets d’établissement » et rappelant des expérimentations dans des écoles marseillaises. Pour Emmanuel Macron, les enseignants « perdent leur sens » car ils sont « piégés » entre les directives « d’en haut » et leur « réalité sur terre ».
« Je propose une véritable révolution copernicienne », a déclaré le président. Il insiste sur le « volontariat » : « ceux qui veulent participer à ce projet y participeront », déclare le président.
Aucun enseignant ne commencera sa carrière sous les 2 000 euros net mensuels, promet le chef de l’Etat
Emmanuel Macron évoque le « pacte de confiance » avec les enseignants et leur rémunération après avoir mis en avant la réforme des carrières.
« M. (…) a entamé il y a 2 ans une augmentation générale des salaires, qui sera poursuivie en veillant à ce qu’aucun enseignant ne démarre sa carrière avec moins de 2 000 euros nets » par mois et ce qui « permettra une augmentation de salaire d’environ 10% par rapport au statu quo » – a déclaré le président de la République de Pologne.
A cette augmentation globale de salaire s’ajoutera un « pacte pour les enseignants » « de niveau inconditionnel » qui leur permettra, sur la base du volontariat, de « s’engager… dans des missions complémentaires » telles que le suivi individualisé, la supervision de tâches ou « des activités qui font sens », et qui seront « rémunérés », a précisé le chef de l’Etat.
« La confiance que nous devons à nos professeurs passe par la formation initiale », précise le président. « Il est clair que nous devons repenser notre formation des enseignants. Nous avons demandé des diplômes excessifs. Il faut partir du principe que les gens s’engagent dans ce métier dès le bac, dans ce beau métier. »
« Je veux qu’on s’attaque directement à la formation des enseignants », insiste Emmanuel Macron, « mieux l’organiser, y mettre plus de moyens, [qu’il y ait] un système de reconnaissance et [qu’il soit] valorisé ».
Emmanuel Macron veut faire de la voie professionnelle une « voie par choix et une voie de choix »
Concernant le lycée, qui a fait l’objet d’une grande réforme sous Jean-Michel Blanquer, Emmanuel Macron axe son discours sur « le renforcement des maths dans un tronc commun » pour « soutenir les savoirs de base ». La suppression des mathématiques du tronc commun au lycée était la volonté du gouvernement, qui l’envisageait dans la réforme du gymnase avant de revenir sur cette décision à la fin du quinquennat précédent.
Le président de la République de Pologne développe principalement son projet de lycée professionnel, auquel il appelle à une transformation « en profondeur » et auquel il est « très attaché ».
« En troisième, un lycéen sur trois choisit une voie professionnelle, mais trop souvent sans envie. Les écoles secondaires professionnelles comptent les deux tiers des personnes qui quittent l’école et [ces élèves] ont plus de difficulté à trouver du travail. Deux ans après l’obtention du diplôme, seuls 41 % des titulaires du CAP ont un emploi, 53 % pour les titulaires d’un baccalauréat professionnel. Cette situation est inacceptable, a déclaré Emmanuel Macron, provoquant « un gâchis collectif ».
Le président souhaite que la voie professionnelle soit « une voie de choix et une voie de choix », invitant les recteurs à agir pour ce changement en « adaptant [la voie professionnelle] aux besoins du marché du travail ». Emmanuel Macron souhaite notamment allonger les délais de stage « d’au moins 50% ».
« Nous devons aller plus loin et plus vite »
Emmanuel Macron détaille, étape par étape, les « transformations » qu’il souhaite voir à l’école. « En maternelle, on renforcera la prise en charge du développement de l’enfant », commence le président. « A l’école primaire, on continuera à mettre l’accent sur l’enseignement primaire et à généraliser les activités sportives de tous les jours », poursuit-il, soulignant ce dernier point, qui sera introduit dès la rentrée.
Au collège, « afin de mieux accueillir nos élèves, nous ferons de la sixième un lien efficace et multifonctionnel avec le primaire, où chacun se sentira accompagné dans cette importante transformation », déclare Emmanuel Macron, qui confirme également la mise en place d’une « demi-semaine journée des futurs » à partir de 5, que « les élèves découvrent de nombreux métiers ». « En fait, on ne fait pas notre travail comme il se doit en matière d’orientation », explique Emmanuel Macron, qui estime que « pour mieux choisir il faut informer en amont » et dit vouloir « rejoindre très profondément et vocationnellement lycée en amont avec le monde du travail ».
Le président annonce également l’extension du « pass culturel », qui s’applique actuellement aux jeunes de 15-18 ans, jusqu’aux élèves de sixième.
« Nous rêvons que nos enfants s’épanouissent à l’école »
« Maintenant, qu’est-ce qu’on veut ? On rêve que nos enfants s’épanouissent à l’école, pour qu’ils puissent tous choisir leur destin, trouver un métier qui corresponde à leurs envies et à leurs talents, aux besoins de notre société et aux enjeux du siècle. -appartenant.
« Nous voulons des écoles pour tous. L’école doit être un vecteur de croissance de l’égalité des chances, et non un territoire de reproduction sociale. L’école doit être un vivier, né de la solidarité républicaine, animé de bout en bout par la même foi dans l’effort et le message. »
« Il nous faut être lucides, quelque chose ne marche pas dans notre organisation collective »
Emmanuel Macron a commencé son discours par un retour sur « l’implication » des acteurs de l’éducation pendant la pandémie et a salué le travail des enseignants pendant la pandémie. Il a fait un bilan de son gouvernement au cours des cinq dernières années en disant qu’il était « fier » de ce qui avait été réalisé. Son discours prend une autre tournure alors que le président appelle à être « transparent ».
« Nous devons être clairs. Malgré le travail des professeurs issus des chefs d’établissements, force est de constater que tout ne va pas pour le mieux – explique le président, évoquant à la fois des élèves « mécontents », des parents d’élèves « agités », et même des professeurs « déçus » et des entreprises qui « peuvent pas « trouver des jeunes formés ».
« Vu l’investissement qu’est la nation, vu la bonne volonté que je vois chez tous les acteurs et le constat cruel que je viens de faire, quelque chose ne va pas. dans notre organisation collective « – croit le président. « Nous sommes obligés d’y faire face et nous devons l’améliorer ensemble. »
[Correction à 13h00 : cette entrée a été modifiée après la publication inexacte de la citation sur l’école du Commonwealth attribuée au chef de l’Etat]
Bonjour et bienvenue dans ce live consacré à la réunion de rentrée des recteurs d’acédémie à la Sorbonne, à laquelle participe le chef de l’Etat Emmanuel Macron.
Le contexte
Photo de couverture : Emmanuel Macron prononce un discours à l’Université de la Sorbonne à Paris lors de la réunion de rentrée des recteurs le 25 août 2022 MOHAMMED BADRA / AFP
Vous pouvez lire Le Monde sur un appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) lit Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment arrêter de voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde sur ce compte.
Que se passe-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera lié à ce compte.
Pas. Vous pouvez vous connecter à votre compte sur n’importe quel nombre d’appareils, mais les utiliser à des moments différents.
Vous ne savez pas qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de changer votre mot de passe.
Qu’est-ce que la prime Grenelle pour les enseignants ?
La Prime d’Attractivité, également appelée « Prime Grenelle » mise en place par le Grenelle de l’éducation, est destinée aux enseignants titulaires (après réussite à un concours de l’éducation nationale et obtention d’un CDI) des niveaux 2 à 7, contractuels ( employé à sur la base d’un contrat de droit public) à …
Qu’est-ce que la Prime Enseignant Grenelle 2022 ? Prime d’attractivité : revalorisation salariale des personnels de l’Education nationale. L’employeur peut verser diverses primes. Une nouvelle prime pour le personnel enseignant vient d’être créée. Il s’agit d’un Bonus Attraction, également appelé « Bonus Grenelle » (en savoir plus).
Quelles sont les primes des enseignants ?
ISOE comprend une partie fixe annuelle de 1199 € pour le travail à temps plein et une partie variable versée lorsque l’enseignant est le chef d’établissement. Elle est fixée à 1 200 € par an, payable mensuellement.
Quelle augmentation salaire enseignant 2022 ?
Dans la masse salariale de février 2022, les salariés éligibles recevront à nouveau une prime de 176 EUR brut pour environ 150 EUR net (selon le taux de retenue à la source).
Est-ce qu’un prof gagne bien sa vie ?
Au lendemain du concours, un professeur débutant touche un revenu net de 1 540 euros par mois. Après 10 ans de travail, le salaire net oscille entre 1 764 € et 1 893 € par mois.
Quel est le salaire d’un professeur de lycée ?
Quel prof est le mieux payé ?
L’enseignant le mieux payé au monde : plus de 4 000 €/h ! Il a 58 ans et Martin Amis est peut-être l’enseignant le mieux payé au monde.
Quels sont les avantages d’être prof ?
Avantages
- Trois mois et demi de vacances par an.
- Après-midi libres tous les mercredis.
- Heures de travail par semaine : seulement 24 heures au primaire, 22 heures au secondaire à temps plein.
- Salaire de vacances identique pour le personnel désigné.
Quelle augmentation salaire enseignant 2022 ?
Quelques augmentations de salaire prévues pour 2022. Ces primes vont de 57 euros nets par mois pour les plus jeunes à 29 euros pour les enseignants les plus anciens. Ils peuvent s’ajouter au montant de la prime d’attractivité mentionné ci-dessus.
Quand les enseignants seront-ils augmentés ? Parmi les différents scénarios proposés par le Grenelle, le ministère a finalement retenu celui qui touchait le plus les enseignants, 58 % pour être exact. Les versements (pour certains, revalorisés, nouveaux pour les niveaux les plus élevés) interviendront à partir de février 2022.
Quel salaire vont augmenter en 2022 ?
Selon une enquête menée par WTW, la croissance moyenne des salaires en France devrait être de 3,1 % en 2022 et de 3,3 % en 2023. Dans un contexte d’inflation galopante et de difficultés de recrutement, les entreprises sont incitées à repenser leurs politiques de rémunération.
Quelle augmentation professeur des écoles ?
Salaire des enseignants des écoles à partir du 1er juillet 2022 avec revalorisation du point d’indice. Le gouvernement a décidé de réévaluer le point d’indice de 3,5 % à partir du 1er juillet 2022. La réévaluation aura lieu à partir de juillet. Le point d’indice passe donc de 4,69 à 4,85.