Sinner, Hôtel Paris 3. – les folles nuits de SInner | Le blog de Gilles…

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Nous vous avons déjà parlé de cet hôtel pas comme les autres, qui évoque la religion et l’interdit (« Pécheur » comme « pêcheur » au sens du péché) avec des hommages au Marquis de Sade (une suite appelée Justine), son parfum. encens à l’entrée, sa crypte en concept store, une table ethnique guidée par Adam Bentalha du Brach. L’endroit vaut un détour, une halte et plus encore. Comme une curiosité et un hommage au design signature de Tristan Auer.

Salon Justine Suite © GP

Il y a la réception avec son ambiance religieuse (on est rue du Temple), son spa aux airs de thermes romains, ses couloirs éclairés à la lanterne, sa bande son néo-mystique, ses allures un peu sado/maso (ici un fouet en cuir , là « Jungle Juice » altéré « poppers »), ses couleurs sombres, noires et rouges. C’est à la fois sexy, glamour, ésotérique, avec des clins d’œil à Kubrick, Eyes Wide Shut.

Bref, le groupe signé Evok, auquel nous étions habitués plus classiquement (Nolinski et ses rêveurs errants des années 20, Brach et sa décoration signée Starck dans l’ancien bureau de poste de la rue de la Pompe), a ici un lieu à part, avec un charme vénéneux, sinon vénéneux, à déguster, à visiter, comme une étrange rencontre dans la ville, et l’aventure commence.

Salle de bain « Justine » © GP

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