Bien que l’insomnie soit le trouble du sommeil le plus fréquent, certains cas semblent ne survenir que dans la tête du dormeur : il a l’impression de peu de sommeil pendant la nuit, alors que les mesures standards du sommeil (le sommeil est un état naturel récurrent). perte de conscience (mais sans perte …) dans Le laboratoire montre, au contraire, une nuit de sommeil relativement bonne. L’insomnie (du…) est dite paradoxale, ce qui donne aux spécialistes du sommeil de nombreux troubles. Des études récentes en neurosciences du sommeil proposent cependant quelques réponses possibles, qui remettent en cause la façon même de conceptualiser notre situation d’éveil et de sommeil. .
Paula n’a pas dormi de la nuit. Une heure (Heure est une unité de mesure :), tout (Totalement compris comme tout ce qui existe est souvent interprété comme le monde ou …) le plus. Insomniaque depuis l’enfance, il connaît très bien la sensation de ne pas pouvoir dormir, fixant le plafond (Par extension, le plafond c’est le maximum 🙂 depuis sa chambre le matin, se débattant avec les draps, et comptant les moutons. Cependant, si son sommeil était mesuré en laboratoire cette nuit-là, les données montreraient que Paula a dormi pendant près de sept heures. Qu’est-ce que c’est vraiment ? Là réside tout le paradoxe (Un paradoxe est une proposition qui contient ou semble contenir une contradiction logique, ou …) l’insomnie paradoxale.
Sommaire
Mesurer le sommeil
D’un point de vue extérieur, déterminer si une personne dort semble simple : s’allonger et ne pas bouger, les yeux fermés, respirer (Dans le langage courant, la respiration désigne les échanges gazeux (refus…) c’est une rivière en Toscane.) et perte de contact avec l’environnement (L’environnement est tout ce qui nous entoure. Cet agencement d’éléments naturels et …). Mais pour s’assurer qu’il est beau (nommé en l’honneur du découvreur Alexandre Graham Bell, le beau c’est l’unité. et…) on appelle la polysomnographie*, c’est-à-dire des électrodes sont placées à la surface de l’eau (La surface désigne généralement la couche superficielle d’un objet. Le terme a…) peau (La peau est un organe constitué de plusieurs couches de tissus. Elle tourne, entre autres, . ..), qui enregistre les deux. activité (Le terme activité peut désigner une profession.) cerveau (Le cerveau est l’organe principal du système nerveux central des animaux. Processus cérébral…), activité musculaire, activité oculaire, et parfois aussi activité cardiaque et respiratoire des dormeurs.
Tous ces signaux, mis ensemble (En théorie des ensembles, un ensemble intuitif indique une collection…), permettent de confirmer l’état d’éveil ou de sommeil. Par exemple, lorsqu’une personne tombe dans un sommeil profond, son activité cérébrale commence à ralentir, créant des ondes lentes qui sont clairement visibles dans l’enregistrement. A voir aussi : Pourquoi l’huile de CBD est-elle officiellement enregistrée ?. Sa respiration ralentira également et ses muscles se détendront. La polysomnographie permet également de détecter d’autres stades du sommeil, comme le stade du sommeil paradoxal (du grec ancien στ?διον stadion, du verbe …) où les rêves sont plus clairs et plus L’activité cérébrale est plus rapide, la paralysie (La paralysie ou la plégie est une perte . de motricité par réduction ou perte …) des muscles et des mouvements oculaires rapides seront observés.
Ce critère pour déterminer si une personne dort ou non – et, si oui, à quel stade de sommeil elle se trouve – est bien établi. Cependant, leur relation avec le sommeil reste également ambiguë. Les données d’une étude américaine menée en 2017 sur plus de 1 400 personnes montrent que cette mesure standard décrit en réalité peu la qualité du sommeil, telle que rapportée par les dormeurs [3]. Par exemple, dormir plus longtemps ou profiter de longues périodes de sommeil profond ne signifie pas nécessairement qu’une bonne nuit de sommeil sera rapportée. Dans le cas de l’insomnie paradoxale, cette dissociation entre les mesures standards du sommeil et la perception subjective du sommeil est poussée à l’extrême. . Pour cette raison, les scientifiques sont encouragés à rechercher d’autres facteurs qui contribuent à la somnolence.
Des îlots d’éveil
Plusieurs hypothèses ont été proposées pour tenter d’expliquer ce paradoxe. Certains pensent que ces patients auront du mal à percevoir leur état de sommeil, le prenant pour un état d’éveil, que leur anxiété face au sommeil augmentera les symptômes nocturnes qu’ils rapportent, ou qu’ils auront tout simplement du mal à estimer le temps (le temps est un concept développé par les humains pour la capture. A voir aussi : Bien dormir par une chaude nuit : 10 conseils pour un sommeil et un repos d’été de qualité…) qui passe pendant la nuit [4].
Mais les progrès de l’enregistrement du sommeil ont permis de conceptualiser différemment l’insomnie paradoxale : cette personne peut être dans un état mixte d’éveil et de sommeil. En effet, depuis deux décennies, la perspective traditionnelle du sommeil comme phénomène de « tout ou rien » est de plus en plus remise en question, dans la lumière (La lumière est un ensemble d’ondes électromagnétiques visibles à l’œil…) des études montrent que l’état de l’éveil et du sommeil peuvent coexister[ 5]. Ce phénomène a d’abord été mis en évidence chez plusieurs espèces animales. Par exemple, les dauphins ne peuvent dormir qu’un hémisphère à la fois – la moitié du cerveau est endormie, tandis que l’autre moitié reste éveillée pour leur permettre de rester alerte et de revenir à la surface de l’eau (L’Eau est un composé chimique omniprésent) . sur Terre, il est important pour tous…) de respirer[6].
Chez l’homme, ce type de sommeil unihémisphérique est impossible. Cependant, les preuves s’accumulent pour montrer que le sommeil et l’éveil sont régulés localement dans notre cerveau [7]. Un cas flagrant est le somnambulisme (Sleepwalking, qui signifie en latin « se promener en dormant », c’est-à-dire…), où le réveil incomplet conduit à ce que le cerveau soit partiellement éveillé et partiellement endormi. Des recherches ont également montré que certaines zones du cerveau peuvent s’endormir plus rapidement que d’autres, ou qu’une moitié de notre cerveau dort moins profondément que l’autre lors de la première nuit en laboratoire [8]. Une hypothèse voudrait que le cerveau conserve la capacité de maintenir un niveau de vigilance (L’attention prend l’aspect d’intensité pour retrouver toutes les capacités de…) pendant le sommeil (Sommeil), notamment lorsque l’on dort. dans un endroit insolite. Au contraire (En mathématiques, l’inverse de l’élément x de l’arrangement prévu par la loi…), une petite zone isolée du cerveau peut dormir un instant, même si la personne est généralement éveillée[9] . Tomber sur la Lune (la Lune est le seul satellite naturel de la Terre et le cinquième en …) peut en fait s’endormir – partiellement -.
De même, l’idée que l’insomnie paradoxale est causée par l’intrusion d’un petit « îlot » d’éveil dans le cerveau en général pour le sommeil gagne du terrain, mais n’a pas encore été pleinement démontrée. En 2019, une équipe de recherche (Les chercheurs scientifiques pointent en premier lieu toutes les actions entreprises en vue de…) de l’Université de Lausanne (L’Université de Lausanne (UNIL) est une université située à Lausanne, en … ) utilise l’électroencéphalographie haute densité (la densité ou la densité relative du corps est le rapport de sa densité à…), est un casque monté sur la tête contenant pas moins de 256 électrodes, qui enregistrent l’activité cérébrale avec une résolution supérieure à la taille standard, qui contient souvent moins de 20 électrodes pour mesurer l’activité cérébrale .
Cette technologie (le mot Technologie a en fait deux sens 🙂 leur permet d’observer que chez les personnes qui tiennent compte de la durée du sommeil, certaines zones du cerveau affichent une fréquence plus rapide, ou restent en quelque sorte « hypervigilantes », même dans les profondeurs les plus profondes. des moments. en train de dormir Plus le cerveau montre cette fréquence rapide, moins il est considéré comme un sommeil profond [10]. Si les patients souffrant d’insomnie paradoxale ont une activité cérébrale mixte entre l’éveil et le sommeil, alors le paradoxe n’est plus vrai : ces personnes percevront en fait un sommeil perturbé à un niveau qui n’est tout simplement pas détecté par les mesures standard dans les cliniques du sommeil.
Rêver d’insomnie
Un autre facteur qui passe incognito dans les électrodes peut également jouer un rôle important dans notre perception du sommeil : les rêves. Sur le même sujet : Le bien-être du cheval, ma chère préoccupation / La santé / Le cheval de A à Z / Accueil – leperon.fr. Certaines études ont montré que les rêves des personnes souffrant d’insomnie sont généralement plus négatifs, et ressemblent davantage à des pensées ou des ruminations qu’à des rêves et à des scénarios immersifs[11]. Une équipe de recherche basée en Allemagne pense que certains cas d’insomnie paradoxale pourraient en réalité être dus à une difficulté à distinguer ce rêve des pensées éveillées, ce qui fait qu’on se sent éveillé, au lieu de dormir [12]. En d’autres termes, cette personne rêvera-t-elle qu’elle est éveillée ?
Cette hypothèse a été partiellement confirmée par une équipe de chercheurs de l’Université de Lausanne en 2021[13]. Leurs participants, à la fois bons dormeurs et individus souffrant d’insomnie paradoxale, ont passé deux nuits au laboratoire, où ils se sont réveillés plusieurs fois pendant leur sommeil (en moyenne (La moyenne est une mesure statistique caractérisant les éléments de l’arrangement…) 25 fois pendant deux nuits !). A chaque réveil, il leur était demandé de déterminer s’ils étaient éveillés ou endormis avant le réveil, la profondeur (Graphie) de leur sommeil, et s’ils rêvaient ou non. Sans surprise, les insomniaques pensent qu’ils sont plus souvent éveillés pendant leur sommeil que les bons dormeurs, près d’un réveil sur trois, et leurs rêves ressemblent davantage à des pensées lorsqu’ils se sentent éveillés. En fait, les bons dormeurs se sentent plus profondément endormis en sommeil paradoxal (lorsque nos rêves sont plus clairs et complexes) qu’en sommeil profond (lorsque notre cerveau crée des ondes lentes).
Une étude menée en 2015 par l’équipe du Dr Bastien à l’Université Laval (l’Université Laval est l’une des plus grandes universités au Canada. C’est comme…) a eu des résultats similaires – les personnes souffrant d’insomnie REM percevaient une durée plus longue et une meilleure qualité de sommeil la nuit . contient plus de sommeil paradoxal [14]. Ces résultats peuvent remettre en question la façon dont le sommeil est traditionnellement conceptualisé. Ce qui rend le sommeil « profond » dépendra non seulement de la lenteur de nos ondes cérébrales, mais peut-être aussi de la présence de rêves riches et perceptifs qui indiquent, sans ombre (Une ombre est une zone sombre créée par l’interposition d’un objet opaque (ou juste…) de doute, que l’on dort.
Paula dormait-elle ?
Si la profondeur du sommeil est encore loin d’être comprise, les efforts en ce sens (SENS (Strategy for Engineered Negligible Senescence) est un projet scientifique qui vise…) des personnes, comme Paula, qui souffrent d’insomnie paradoxale. Des recherches récentes en neurosciences ont montré que le sommeil et l’éveil ne sont pas des catégories mutuellement exclusives et que leur évaluation gagnerait à prendre en compte l’expérience subjective du sommeil. Si l’insomnie paradoxale est en partie due au rêve même et à la pensée éveillée, une approche thérapeutique (Thérapeutique (du grec therapeutein, soigner) fait partie de la médecine qui…), qui aide les gens à s’apprivoiser et à aller mieux. reconnaître leurs rêves, peut aussi les aider à mieux comprendre leur sommeil [15]. De plus, l’utilisation d’appareils plus sensibles pour enregistrer l’activité cérébrale ainsi que des critères plus flexibles qui vont au-delà des stades de sommeil standard et de la dichotomie veille-sommeil peuvent aider à comprendre et à traiter divers troubles du sommeil.
Alors, est-ce que Paula dort ? Est-il dans un état mixte de sommeil et d’éveil ? Rêve-t-il d’insomnie ? Jusqu’à ce que les chercheurs aient une meilleure compréhension du phénomène, l’appareil de mesure le plus précis, jusqu’à la date (Jour ou jour est l’intervalle entre le lever et le coucher du soleil ; ça…), pour mesurer la qualité de son sommeil, sa parole demeure. (La parole s’incarne dans le langage. En d’autres termes, c’est le comportement d’un sujet. Si le langage se réfère à …) c’est .
Écrit par Claudia Picard-Deland, étudiante au programme de doctorat en neurosciences de l’Université de Montréal (l’Université de Montréal est l’une des quatre institutions d’enseignement…)
[1] Castelnovo, A., Ferri, R., Punjabi, N. M., Castronovo, V., Garbazza, C., Zucconi, M., Ferini-Strambi, L. et Manconi, M. (2019). Le paradoxe de l’insomnie: une revue théorique vers une définition unificatrice fondée sur des preuves. Examen de la médecine du sommeil, 44, 70-82. https://doi.org/10.1016/j.smrv.2018.12.007
Morin, C.M., LeBlanc, M., Bélanger, L., Ivers, H., Mérétte, C. et Savard, J. (2011). Prévalence de l’insomnie et son traitement au Canada. Le Journal canadien de psychiatrie, 56 (9), 540-548. https://doi.org/10.1177/070674371105600905
[2] Edinger, J. D. et Fins, A.I. (1995). Distribution et signification clinique des perceptions erronées du temps de sommeil chez les insomniaques. Sommeil, 18(4), 232-239. https://doi.org/10.1093/sleep/18.4.232
[3] Kaplan, K.A., Hirshman, J., Hernandez, B., Stefanick, M.L., Hoffman, A.R., Redline, S., Ancoli-Israel, S. Stone, K.L., Friedman, L. et Zeitzer, J.M. (2017 ). ). Quand l’étalon-or ne ressemble pas à l’or : Absence de prédiction de la qualité subjective du sommeil à partir de la polysomnographie du sommeil. Psychologie biologique, 123, 37-46. https://doi.org/10.1016/j.biopsycho.2016.11.010
[4] Harvey, AG. et Tang, N.K. (2012). (Mauvaise) perception du sommeil dans l’insomnie : une énigme et une résolution. Bulletin psychologique, 138(1), 77-101. https://doi.org/10.1037/a0025730.
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[8] Casagrande, M. et Bertini, M. (2008). Dominance nocturne de l’hémisphère droit et dominance diurne de l’hémisphère gauche : Restructuration de la latéralité dans les conditions d’éveil-sommeil-éveil. Psychologie biologique, 77 (3), 337-342. https://doi.org/10.1016/j.biopsycho.2007.11.007
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[9] Andrillon, T., Burns, A., Mackay, T., Windt, J. et Tsuchiya, N. (2021). Prédire les interruptions d’attention avec des ondes lentes semblables au sommeil. Nature Communications, 12 (1), 3657. https://doi.org/10.1038/s41467-021-23890-7.
[10] Lecci, S., Cataldi, J., Bernardi, G. et Siclari, F. (2019). Se sentir éveillé pendant le sommeil : une évaluation EEG à haute densité de la perception du sommeil chez les bons dormeurs et les patients souffrant d’insomnie paradoxale. Médecine du sommeil, 64, S215. https://doi.org/10.1016/j.sleep.2019.11.600
[11] Wassing, R., Benjamins, J. S., Dekker, K., Moens, S., Spiegelhalder, K., Feige, B., Riemann, D., van der Sluis, S., Van Der Werf, Y. D., Talamini, L.M., Walker, M.P., Schalkwijkm F. et Van Someren, EJ (2016). Se dissiper lentement de la détresse émotionnelle contribue à l’hyperexcitation. Actes de l’Académie nationale des sciences, 113(9), 2538-2543.https://doi.org/10.1073/pnas.1522520113
Pérusse, A.D., De Koninck, J., Pedneault-Drolet, M., Ellis, J.G. et Bastien, C.H. (2016). Activité de rêve REM des patients insomniaques : une comparaison systématique avec les bons dormeurs. Médecine du sommeil, 20, 147-154. https://doi.org/10.1016/j.sleep.2015.08.007
[12] Feige, B., Nanovska, S., Baglioni, C., Bier, B., Cabrera, L., Diemers, S., Quellmalz, M., Siegel, M., Xeni, I., Szentkiralyi, A., Doerr, J.P. & Riemann, D. (2018). Insomnie – peut-être un rêve ? Résultats d’une étude sur l’éveil au sommeil NREM/REM chez les bons dormeurs et les insomniaques. Sommeil, 41(5). https://doi.org/10.1093/sleep/zsy032
[13] Stephan, A.M., Lecci, S., Cataldi, J. et Siclari, F. (2021). L’expérience consciente et les schémas EEG à haute densité prédisent la profondeur subjective du sommeil. Biologie actuelle, 31(24), 5487-5500.e5483. https://doi.org/10.1016/j.cub.2021.10.012
[14] Pérusse, A. D., Pedneault-Drolet, M., Rancourt, C., Turcotte, I., St-Jean, G. et Bastien, C. H. (2015). Le sommeil paradoxal comme indicateur potentiel d’hyperexcitation chez les patients souffrant d’insomnie psychophysiologique et paradoxale. Journal international de psychophysiologie, 95 (3), 372-378. https://doi.org/10.1016/j.ijpsycho.2015.01.005
[15] Ellis, J.G., De Koninck, J. et Bastien, C. (2020). Gestion de l’insomnie à l’aide d’exercices de rêve lucide : une étude pilote. Médecine comportementale du sommeil, 19 (2), 273-283. https://doi.org/10.1080/15402002.2020.1739688
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