Ce 12 mai, sur le plateau de TPMP, Cyril Hanouna recevait la tête d’un club échangiste. Ce dernier lui a fait de vives révélations.
Après Jean Lassalle, dans l’hémicycle, qui a posté que les « échanges sont restés ouverts tout au long du confinement », et qu’ils étaient parfois fréquentés par nombre de députés et de ministres, Cyril Hanouna a reçu ce 12 mai un patron de club libertin, dont l’établissement était fermé pendant la pandémie.
Et si Bruno Hencks expliquait sur le plateau de TPMP : « On sait très bien que des hommes politiques comme des présentateurs télé ou des artistes ou des chanteurs pratiquent », par professionnalisme, il n’a consenti à déplacer aucun nom, à la télévision. Et surtout pas celle du chroniqueur de C8 qu’il a déjà rencontré dans son établissement !
Il n’est pas venu les mains vides, mais cet invité a raconté quelques petites histoires qui ont naturellement fait rire l’équipe de Baba. Sans citer le nom d’un client, il relate précisément une affaire qui s’est déroulée « sous l’ère Sarkozy ».
Bruno Hencks se souvient : « Nous avions un homme qui nous a laissé son portable à l’accueil, car parfois les parents laissent les enfants à la maison et laissent leurs portables au bar au cas où. Ce monsieur était très gentil, il nous dit ‘Sauve moi' ». ordinateur portable’, très calme. »
Et malheureusement, en raison d’un impératif de travail, ce libertin a été contraint de s’arrêter sur le coup, et pour cause. Le propriétaire de la boîte raconte : « A un moment le téléphone a sonné et on a vu l’écran du portable dans le bar : ‘Monsieur le président Sarkozy’. On s’est dit que ça devait être important, alors on est allé chercher M. au milieu de une blague ».
Ce n’est qu’en rendant son téléphone à la personne concernée que Bruno Hencks l’a reconnu. Pour la discrétion, assure-t-il : « ils lui ont dit que le portable avait sonné et qu’on ne pouvait pas dire ce qui était montré »…