Valverde a accordé une interview à la chaîne latino-américaine Direct TV depuis son domicile à Madrid. Il passe en revue la situation actuelle de l’équipe nationale, son histoire ainsi que les attentes de l’Uruguay pour la Coupe du monde.
Fede Valverde connaît une première moitié de saison incroyable. Le milieu de terrain uruguayen, qui a déjà inscrit sept buts, est devenu une pièce fondamentale du Real Madrid grâce à sa polyvalence, son intelligence tactique et sa capacité à faire trembler les filets.
Son but contre le Barça et le pari d’Ancelotti : « Il fallait être fou pour passer le ballon et plus avec la pression que m’a mis l’entraîneur, qui m’a dit que si je ne marquais pas plus de 10 buts, il devait se retirer ». dit le contraire Il va casser son permis, mais c’est une bonne pression, il me dit plusieurs fois de tirer au but et au final c’est utile.
Merci à Ancelotti: « Je lui serai toujours reconnaissant pour tout ce qu’il m’a donné, pour la façon dont il m’aide. Il m’a fait progresser dans mon désir d’être un joueur important à Madrid, non seulement en apportant du travail ou de l’énergie, mais aussi en marquant objectifs Je suis l’un des meilleurs tireurs à l’entraînement, alors pourquoi ne pas profiter de cette qualité ?
Pression du Clasico : « Les semaines précédentes ne sont pas faciles, on a du mal à dormir, on essaie de penser positif pour que ça se passe bien et quand ça arrive c’est un soulagement ».
Plus d’Ancelotti : « Il vous soutient au quotidien, il vous donne toujours des conseils, il m’a toujours apporté un soutien inconditionnel et parfois, quand je ne faisais pas les choses correctement, il m’a prévenu. Il a toujours voulu apporter moi pour que je puisse me tester et le En fin de compte, j’ai montré que j’étais prêt pour ce qu’il voulait et il l’a rendu avec beaucoup d’affection ».
📅✨ Cela fait 4️⃣ ans depuis les débuts de @fedeevalverde en tant que madridista !#RealFootball pic.twitter.com/HqHoW3pYUZ
— Real Madrid CF (@realmadrid) 23 octobre 2022
Premier jour à Madrid : « Je me sentais nerveux, timide, gêné… Parfois on se demande même si on est au bon endroit parce qu’on n’a pas l’air aussi bien que tout le monde dans ce vestiaire qui a tant gagné. on se sent inférieur, étrange… Et puis petit à petit, au fur et à mesure que l’on gagne, on se convainc que soi aussi on est important, on commence à y croire et c’est très agréable de suivre ce chemin.
Des moments difficiles et le soutien de sa femme : « Nous avons surmonté de nombreux obstacles en cours de route, c’est elle et mon fils qui me soutiennent. » Alors que ça n’allait pas bien il y a quelques mois au club pour des raisons qu’ils me doivent, parce que je suis très têtu je n’avais pas de minutes… elle m’a donné mille solutions. Elle a aussi fait de moi un père et ça me fait mûrir chaque jour. »
Coupe du monde avec l’Uruguay : « Jouer une Coupe du monde avec l’Uruguay est mon rêve, défendre mon pays est la plus belle chose qui soit. J’ai joué pour Peñarol, l’équipe de ma vie, et j’ai apprécié chaque instant au Real Madrid, le meilleur club « . dans le monde. Mais défendre mon pays sur le terrain ne ressemble à aucun autre. »