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Airbnb, Booking et Expedia connaissent un mois de juin compliqué aux USA
Le tourisme se targue de problèmes de riches, depuis le début du printemps 2022. Pénurie de personnel, réservations qui dépassent 2019, manque de capacités aériennes… et si tout ça n’était qu’un mirage ? D’après BTIG, une société mondiale de services financiers, le trafic pour Airbnb est passé de +6% en mai à -2% en juin, celui de Booking de +5% à -4%. Pour l’analyste financier la « pression macroéconomique » pourrait peser sur les réservations de séjours dans les périodes futures. Faut-il s’inquiéter ?
Airbnb, Booking et Expedia ont un mois de juin compliqué aux États-Unis – Depositphotos @studiostoks A voir aussi : Location entre particuliers : Cdiscount Voyages Partenaire de Smily.
Le tourisme connaît presque « sa meilleure vie », comme disent les nouvelles générations. & # xD;
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Au cours des deux dernières années, le Covid a créé un véritable sentiment de frustration dans la population. Ce dernier profite de la pause apportée par l’épidémie et les températures estivales pour planifier en masse l’été à venir. & # xD;
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Il ne fait plus aucun doute que la saison sera bonne, même historiquement, et après ? & # xD;
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« Je ne veux pas être un oiseau de mauvais augure, loin de là, et j’espère me tromper. & # XD;
Airbnb et Booking : un trafic en baisse en juin 2022
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Il y a actuellement des prix dans l’air qui sont très élevés, voire des délires. Ceci pourrez vous intéresser : Vacances 2022 : les meilleurs voyages au soleil. À un moment donné, nous serons peut-être dépassés par l’inflation et notre bonne reprise pourra être amoindrie », nous expliquait Emmanuel Foiry en mai dernier. & # XD ;
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Il y a actuellement des prix dans l’air qui sont très élevés, voire des délires. À un moment donné, nous pourrions être dépassés par l’inflation et notre belle reprise pourrait s’essouffler,
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L’analyse du patron de Kuoni France semble relativement fine. Aux États-Unis, l’inflation galopante semble déjà avoir écorché la belle reprise. & # xD;
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Selon le dernier rapport de BTIG, une société financière mondiale, le trafic des principaux sites OTA a chuté en juin 2022.
Macroéconomie : inflation en forte hausse et croissance revue à la baisse en France
« Le trafic Airbnb est passé de +6% en mai à -2% en juin, et les Booking Holdings de +5% à -4%. Tous ces chiffres mensuels sont des comparaisons avec le même mois en 2019″, résument nos confrères de Shift.
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Le média américain a même affirmé que cet automne « pourrait signaler un ralentissement de l’été » pour les grands acteurs du voyage. & # xD;
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Ils ne sont pas les seuls à connaître une insatisfaction des internautes, car Expedia connaît même une baisse spectaculaire par rapport aux sociétés citées ci-dessus. Voir l’article : Voyage : Attention, risque important d’annulation de vols avec easyJet en juillet et août. & # xD;
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Pour le géant de Seattle, juin a creusé l’écart avec le trafic en 2019, puisque le désistement n’était que de 8% en mai 2022 contre -17% (juin 2022). Après tout, l’année en cours sera bonne pour ces OTA, qu’il s’agisse d’Airbnb (+5%) ou de Booking (+29%), les demandes des internautes ont nettement augmenté. & # xD;
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Expedia a subi une baisse importante de son département de location de vacances Vrbo (-16%), avec un trafic total en baisse de 2% par rapport à l’année. & # XD;
France : « Voyage » et « Booking.com » en baisse sur Google
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Par conséquent, si la tendance est à la baisse, le problème ne sera malheureusement pas seulement cyclique. & # xD;
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« Ce que nous voyons pour juin pourrait être un signe avant-coureur que les pressions macroéconomiques commencent à peser sur le comportement des voyageurs & # xD;
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Plus que toute autre chose, nous considérons le changement de tendance comme un signe d’alerte précoce potentiel indiquant que les voyages ne sont pas à l’abri d’une pression macroéconomique croissante, prédisent les analystes de BTIG.
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Plus que toute autre chose, nous considérons le changement de tendance comme un signe d’alerte précoce potentiel indiquant que les voyages ne sont pas à l’abri d’une pression macroéconomique croissante,